Rien n'est plus sensuel que la voix de Jean Marais quand
La Bête se plaint de la brûlure que lui occasionne le regard pur de
La Belle Josette Day. Et lorsque celle-ci offre à
La Bête de boire de l'eau dans ses mains, c'est le comble de l'érotisme. Si nos modernes cinéastes pouvaient en prendre de la graine.