Je parle de mes neveux qui depuis l'enfance prennent un avion comme moi l'autobus, l'air les porte, au sens propre comme au figuré, pas de confinement dans leurs sentiments, pas d'appriorie a vivre un métier plutôt que l'autre, leur peau légèrement bronzée sur un muscle dur, des enfants joyeux et les femmes belles, nous les rencontrons à mi chemin entre les Îles du Pacifique , l'Asie , à Paris, ils se déchargent de leurs légers bagages en cadeaux comme une fine pluie divine tombée de haut, telle la liberté dont tout le monde parle mais que peu pratique.
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