vendredi, juillet 30, 2010

Je me raccroche aux bavardages de femmes toutes aussi esseulées que moi; nous sommes nombreuses à déambuler dans la rue des Bains, toutes parisiennes forcenées mais qui savent que l'équilibre c'est de lever le pied grâce à un petit pied-à-terre, luxe de fin de parcours, après des carrières plus ou moins modestes, je ne parle de rien, mes petits trésors n'intéressent pas, chacune a son soi-même, et moi, j'ai mon blog.

1 commentaire:

tilly a dit…

Dorothée, vos petits trésors - comme vous dites - vous les distillez, vous les parsemez sur votre cher blog, merci.

Et nous sommes plusieurs, et peut-être de plus en plus nombreux, à aimer recueillir vos petits cailloux plus précieux que vous le dites.

Et Internet, c'est autrement plus grand que la rue des Bains !