Le journaliste-écrivain Patrick Poivre d’Arvor, membre du jury, évoque dans une interview donnée à Ouest-France à paraître demain son admiration pour l’actrice Emmanuelle Riva, la lauréate 2012 du Prix Marguerite Duras. « Emmanuelle est une femme dont le phrasé, l’intonation est dans mon oreille depuis mon enfance. J’ai vu Hiroshima mon amour (N.D.L.R. : film d’Alain Resnais sorti en 1959) à l’âge de 12 ans et déjà j’étais pénétré par sa voix », confie-t-il.
L’ex présentateur du JT de TF1 raconte aussi les différents entretiens qu’il a réalisés avec Marguerite Duras et leur « complicité qui est allée au-delà du journalisme ».
L’interview de Patrick Poivre d’Arvor est à retrouver dans l’édition Ouest-France pays d’Auge du lundi 15 octobre 2012.
C'est un peu trivial, faire le plein, mais il sagit du film de la cinéaste "Le camion" L'idée de ce camion bleu qui circule sans que l'on sache s'il y a une cargaison humaine ou matérielle, c'est que Marguerite Duras le fait rouler au ralenti, comme dans un rêve, aussi somnambulique que les personnages qu'elle décrit au conditionnel à Gérard Depardieu: Ce serait un film... La passagère serait une vieille dame...grise... de noir vêtue...La vieillesse c'est la splendeur de l'âge, la liberté qui vous vient...La seule vraie liberté c'est l'amour fou...La noblesse de la banalité..
Dans une interwieuw ; Devenue célèbre, et bien qu'habitant dans la rue Saint Benoit, j'ai fuis "Le Flore" et les "Deux Deux Magots" parce que j'étais trop petite pour être dans les lieux oû il y avait des femmes grandes...
C'est un peu trivial, faire le plein, mais il sagit du film de la cinéaste "Le camion" L'idée de ce camion bleu qui circule sans que l'on sache s'il y a une cargaison humaine ou matérielle, c'est que Marguerite Duras le fait rouler au ralenti, comme dans un rêve, aussi somnambulique que les personnages qu'elle décrit au conditionnel à Gérard Depardieu: Ce serait un film... La passagère serait une vieille dame...grise... de noir vêtue...La vieillesse c'est la splendeur de l'âge, la liberté qui vous vient...La seule vraie liberté c'est l'amour fou...La noblesse de la banalité..
Dans une interwieuw ; Devenue célèbre, et bien qu'habitant dans la rue Saint Benoit, j'ai fuis "Le Flore" et les "Deux Deux Magots" parce que j'étais trop petite pour être dans les lieux oû il y avait des femmes grandes...
(Colette avait trouvé remède pour le féminisme: Le harem et le fouet...)
L'obéisance inconditionelle mène au nivellement de l'intelligence...L'engagement politique radicalise, devient caricatural, étouffe la créativité... Dieu est un mot, très pratique...
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