mercredi, octobre 29, 2014
Trouville attend Daniel Cohn Bendit
Je l'avais vu sur un char en 68 demandant aux ouvriers de chez Renault de se rallier au mouvement étudiant, lui avait une bourse pour vivre, les ouvriers n'avaient que des crédits à honorer, je ne trouvais pas juste de leur demander de sacrifier leurs feuilles de paies. N'empêche que je veux voir le numéro à ce jour, je reste donc à Trouville, il y pleuvine, en terrasse chez Willy j'ai le sentiment d'être à la proue d'un navire en croisiére à l'abri, à défaut de vagues, je vois le flot des vacanciers longer la rue des Bains.
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