Les cinéastes libanais déclinent la guerre sous diverses formes, dont l'une allégorique: Deux enfants jouent aux billes, le gagnant ramasse toute la mise, les parents se fâchent c'est un jeu qui coute cher, les familles s'en mêlent, voilà comment commence la guerre.Wa Ziad Antar (2004)
Tambourro 1-2- ( 2006) du même réalisateur L'art de jouer du tambour sous sa douche, au rythme du sifflement de la cafetière en se servant de ce qui vous tombe sous la main.
Rond-point-Chatila Maher Abi Samba (2004) Des réfugiés déhambulent dans une ruelle lépreuse, sans but. L'un dit. Je ne vois pas le temps passer, comme il n'y a rien à faire, les années ont passées sans que je m'en aperçoive, le temps glisse sur moi!
Un plus jeune: Je vais tenter de me fondre dans la foule d'un grand aéroport, j'irais à Cuba où j'y ai un vague oncle!
Un mouvement de foule: De l'eau! de l'électricité! S'il n'y a pas d'eau, pas d'électricité et sans électricité l'eau ne peut pas venir!
Une femme gueule après les associations caritatives qui dit'elle s'en mettent plein les poches sur leurs dos, se contentant de les photographier comme dans un safari.
J'aimerai voir tous les films libanais, mais comme ils ne passent qu'une fois, je ne pourrais pas voir les films en compétition.
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