Une avalanche de: Mon cher Nelson! Mon cher Philippe ! Ma chère Annick! Seule celle-ci ne s'est pas laissée contaminer. Je ne savais pas si c'était du premier degré ou du dixième. Pendant que les juges comptaient les points des candidats, on aurait dù comptabiliser tous ces Mon cher! C'est ce qu'il y avait de plus transcendant dans les commentaires des chers Nelson et Philippe.
samedi, janvier 27, 2007
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