samedi, janvier 20, 2007
Orgie Théâtre du vieux Colombier
Pasolini sans Pasolini. L'articulation et le phrasé des comédiens sont si parfaits qu'aucun souffle de folie ne nous parcourt, ni érotisme sado-maso. Aucune déchirure, le texte ronronne, ils ont beau se foutrent à poil, on ne croit pas aux; Je t'attacherais les mains! Je te foutrais des coups de poings, des coups de pieds! Je te violerais peut'être! Seul, au changement de décor dans le noir, le chant sauvage de femmes italiennes, strident, dissonant, criard, nous donna la mesure de ce que pouvait être le fantasme d'un intellectuel tel que Pasolini.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire