Ces femmes que l'on mettait au couvent afin de les soustraire d'un monde frivole, étaient-elles si malheureuses?
On ne me croit pas honnête, mon côté libertaire laisse à penser que je fais les quatre cent coups. Serai-je plus joyeuse si c'était vrai? J'ai plusieurs connaissances qui se sont défenestrées de crainte de moins séduire, mon côté Cosette m'a épargné de vivre au-dessus de mes moyens, mais les autres n'en démordent pas, ils me prêtent tant de désirs, alors que je n'aspire qu'à l'affection.
Je ne peux en vouloir aux frustrés de tous bords, ils sont simplement usants, le cerne de mes yeux c'est de les savoir tristes.
jeudi, novembre 20, 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire