Il paraîtrait qu'une enzyme trop prolixe dans l'hypothalamus créerait des désordres de tous ordres dans l'affect, les problèmes sexuels,l'hyper émotivité: une personne sur dix dans la population. On peut pourrait réguler cette glande (l'hypothalamus) tel le pancréas qui lui ne produit pas assez d'insuline, à condition que la personne, telle un diabétique qui ne peut déroger à sa dose journalière, de prendre un médicament chaque jour que Dieu fait, cette nouvelle molécule n'a rien à voir avec les soins d'antan qui rendaient les gens légumes.
Je serais bien contente que quelqu'un éclaire ma lanterne.
Au zoo d'Anvers, il n'avait pas été peu fier d'avoir réussi à faire naitre un bébé gorille qui était exposé dans une couveuse, car faute d'hypothalamus, cet animal ne pouvait réguler sa température, il serait mort d'une pneumonie.
Cela me rappelle les étangs glacés toujours à Anvers où André Delvaux tournait Un soir, un train avec Yves Montand dans ses petits souliers de ville. Il y avait un autobus, j'y jouais volontiers la cantinière en distribuant de la soupe chaude à l'équipe, et Bonfanti le fameux ingénieur de son, nous abreuvait d'un nectar à nul autre pareil fabriqué de sa main un irisk-coffee. J'ai adoré ce paysage de nuit glacé. C'est pour ces paysages que je suivais le chef opérateur Ghislain Cloquet dans ses repérages.
dimanche, janvier 18, 2009
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