
Sommes-nous aussi visés? Une femme propose de traverser la colline et de s’abriter dans une auberge italienne où l’on mange très bien. Or nous sommes déjà dans les fameux chemins détournés, sinon nous serions probablement atteints par le feu depuis longtemps.
Finalement, une cohorte s’éloigne en direction de cette colline, et à la fin du groupe, je vois Nathan qui marche tête baissée, les bras ramenés sur sa poitrine. Il me paraît si triste, à ma recherche semble-t-il, que je l’appelle. Au vu et au su de tout le monde nous nous arrêtons pour boire et bavarder sur un remblai muni de tables et de chaises de style champêtre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire