(32)*Gilles me prend classiquement. Contrairement à son tempérament c’est un rut rapide. Je me promène dans la campagne cherchant un buisson où me soulager du dépôt.
Je me trouve en Suisse, devant un grand bâtiment construit sur une pente, avec en haut un complexe piscine-sport.
Ma tante Hélène est encore dans le sentier m’expliquant qu’elle vend tout afin d’avoir assez d’argent pour s’exiler. Je sais qu’il s’agit d’un amour malheureux. Si je lui racontais mon propre désir de fuir peut-être qu’elle m’emmènerait dans son voyage.
Maintenant je me souviens : avant que Gilles n’entre en jeu, je répétais un pas de deux avec une grande planche en guise de partenaire à soulever, dans un gymnase.
Bref, je serre toujours les fesses pour que le sperme ne coule pas le long de mes jambes.
lundi, juin 29, 2009
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