mardi, mars 09, 2010

(75)*Je dors avec mon beau-père. Sa pression ne s’exerce que vers sa poitrine. S’il devait me caresser. J’en ai déjà l’intérieur des cuisses en eau. Il finit par s’allonger sur moi et me tète le sein gauche. Il faut que je réfléchisse, je ne peux me lever pour aller consulter mon carnet. S’il allait me prendre ? Je ne sais plus si nous sommes les jours dangereux ou non. Le temps de ma réflexion, il roule sur le côté. C’est mieux ainsi. Cela ne nous empêche pas de dormir enlacés.

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