Père, mère, jules, soeur, j'ai toujours été à la porte de leur dernier souffle, c'est peut être pour ça que je ne puis en faire le deuil, chaque nuit hantée par les uns, les autres, le mécanisme ne s'arrête pas, et au réveil je n'ai pas la solution des désirs entrecroisés sans jamais satisfaire aucun d'entre nous. D'une certaine façon je ne suis jamais seule, triste certes, mais habitée.
Mon bagage est toujours aux pieds, prête à sauter dans le prochain train de l'amour, pourquoi pas :Un petit dernier pour la route!
Bernard Tapie l'a bien dit à Michel Drucker: La seule chose qui me console, c'est de jouer, un film par an règle mon problème d'identité, ça me suffit! Je venais de tourner mon petit kino annuel, cela m'a confortée dans le bien fondé de cet exercice de style.
lundi, septembre 20, 2010
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