Force m'est de constater que mes copines sont plus narcissiques que moi, impossible de les intéresser à mes petites prestations filmiques, je me dois d'être spectatrice de leurs "pompes et œuvres" ne fusse que de la maladie. Leurs talents réels se conjuguent aux heures de tchatch dans les bistrots. Plus cabotin le serveur de bistrot qui connaît son monde, dans certaines maisons il est bien vu d'afficher son mépris pour le consommateur, quoiqu'avec la crise, on ne crache pas sur le pourboire. le seul qui me console par sa discrétion et son sens de la diplomatie est Willy de "Chez Willy...â Trouville.
Au Club Méd où j'ai travaillé quelque peu, c'était une avalanche de problèmes d'identité. Nous les humbles GO, face aux GM qui détenaient argent comptant le pouvoir des loisirs, et nous, modestes serviteurs qui leur en mettions plein la vue à la pétanque ou lors des spectacles. Pire, dans les couples quant l'un dit à l'autre" On ne peut pas être deux à passer par la même porte!"
Et voilà la solitude, notre grande plaie qui fait les hôpitaux regorger de patients aux heures des fêtes, ils n'attendent que le sourire d'un soignant.
Mais la palme du narcissisme est aux alités qui ne s'occupent pas de leur voisinage mais téléphonent du matin au soir pour raconter de a...à...z le déroulement de leurs intestins, et ceci, même à table alors que nous partagions le repas, c'était trop, j'ai institué un gage pour ceux et celles qui ne respecteraient pas le plaisir du manger des autres , aller embrasser la plus méchante de la salle.
vendredi, novembre 28, 2014
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