Je parle de mes neveux qui depuis l'enfance prennent un avion comme moi l'autobus, l'air les porte, au sens propre comme au figuré, pas de confinement dans leurs sentiments, pas d'appriorie a vivre un métier plutôt que l'autre, leur peau légèrement bronzée sur un muscle dur, des enfants joyeux et les femmes belles, nous les rencontrons à mi chemin entre les Îles du Pacifique , l'Asie , à Paris, ils se déchargent de leurs légers bagages en cadeaux comme une fine pluie divine tombée de haut, telle la liberté dont tout le monde parle mais que peu pratique.
vendredi, février 27, 2015
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