Il fait un temps divin, mais quand il faut y aller! Le train est bondé, j'exhibe mes cheveux blancs de chez "blanc", mes rides sans fard, les jeunes gens assis persistent à ne voir que la ligne bleue de l'horizon, oreillettes aux oreilles. Je finis par m'assoir par terre dans la travée, une jeune fille s'en émeut, mais elle n'est pas dans le sens de la marche.
Au bureau de vote une file d'attente debout, je suis découragée et dit être fatiguée par ce voyage de trois heures, mon sac à dos fait foi de mes dires. Le préposé me fait voter de suite de crainte que je ne revienne pas.
dimanche, avril 22, 2007
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