A chaque parlotte ma mémoire s'agite empêchant le sommeil. Tel un enfant gâté qui ne voulait pas se laisser oublier, me débusquant surtout quant il me savait dans une possible intimité avec quelqu'un d'autre. Les ondes de chocs se dissippent avec le temps, à moins que l'on ne me lance des cailloux qui fassent ricochets sur l'eau. N'ayant pù mettre des contes brefs de l'écrivain, je sors mes cartouches, en quoi l'homme m'a concernée. L'heure ne comptait pas, seule son omniprésence, ne fût-elle que téléphonique. Et l'on voudrait que je le laisse tranquille maintenant que des inconnus s'approprient l'auteur, s'auto proclamant: Je suis le gardien du Temple! Qu'est-ce donc que vos propos déplacés! écrit d' un ton sentencieux. Ils sont jeunes ces fans, et parlent tels de futurs présidents: Chers Sternbergniennes, chers sternbergniens...
C'est plutôt émouvant; Gloire aux jeunes à enfiler les chaussons d'un mort, et prendre un ton péremptoire avec une vieille amoureuse. On ne comprend pas que si je parle du cavaleur, c'est l'homme public, je me garde l'amoureux, c'est ma pudeur à moi que de ne pas dire avoir été aimée, chacun son cadavre. Problème d'identité quant il n'y a pas d'argent à la clef. Cela me fait penser à ceux qui font la quête pour ceux-ci ou cela, les innondations, les catastrophes.
vendredi, avril 20, 2007
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