dimanche, juillet 19, 2009
(39)*Vous étiez si doux. Assis côte à côte, votre bras par-dessus mes épaules. Tout en devisant avec votre ami Floriens, vous m’attiriez souvent vers vous pour un baiser tendre et joyeux. Je pensais qu’il n’était peut-être pas trop tard. Qu’une nouvelle ère pouvait naître dans des amours calmes et gaies. Mais en sortant du bistrot vous me dites être fatigué et rentrer chez vous afin d’y dormir.
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