(41)*Un nouveau-né qui ne m’appartient pas. Je me dois de l’allaiter. Peu de femmes aujourd’hui font le sacrifice de leur physique pour leur propre enfant. J’aurai le sein déformé. En attendant, j’espère que le bébé sera assez vigoureux pour téter mon absence de mamelon. Mon sein est si menu que je ne sais d’où le lait sera tiré, toutes les trois heures, quel problème.
Au bout de deux jours l’enfant est si costaud que mon corps s’est formé à la mesure de son appétit. Mais je souffre sans cesse, même dans les moments où j’allaite
Et lui, déjà, parle et compose de vraies phrases comme vous et moi.
jeudi, juillet 23, 2009
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