
Un wagon passe avec à bord deux rigolardes qui s’embrassent à pleine bouche sans que leur rouge à lèvres très vif ne bave. Je les reconnais, ce sont des choristes de Mogador. Derrière les barreaux de ce wagon à bestiaux, elles singent un tas de mouvements de gymnastique pour continuer à s’embrasser dans les cahots.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire