jeudi, décembre 01, 2011
(122)*J’ai un bébé dans les bras. Bizarrement, c’est moi qui me tète le sein. Pour aider à ma jouissance, je toucherais bien en même temps le pénis de l’enfant à nu, mais je n’ose cet acte scandaleux à son égard.
(123)*Cette nuit, un jeune homme met une souris au creux d’une couverture et la fait flairer par son chien. Lequel la croque comme il lui est commandé.
Je suis allongée à côté, et je vois le maître du chien jeter par-dessus la couverture, de façon à ne pas trop tacher celle-ci, un déchet sanguinolent.
Avec un groupe, dans une ville étrangère, je vais dans une superbe piscine construite en forme de labyrinthe. Certains d’entre nous plongent directement. Moi, je me mets tout à fait à gauche, dans le couloir où l'on a pied. L’eau est si froide qu’une femme qui me précède n’arrive pas à avancer; moi non plus.
« C’est l’eau du Tarn qui se mélange à la piscine, c’est pourquoi elle est si froide ! » dis-je.
Nous barbotons donc dans un petit bassin savonneux, et faute de nous rincer, nous nous rhabillons.
Un homme veut me faire visiter la ville, mais il est arrêté par une vieille servante qui lui dit que la comtesse l’attend:
« Ah bon ! Si la comtesse m’attend, excusez-moi ! » me dit-il. Et il disparaît dans le château.
Quelque temps après, une femme assez jolie, l’air frivole, sort du château. Ce doit être la comtesse, forfait accompli. Elle m’enjoint de donner des cours de relaxation à son époux, pour l’occuper me semble-t-il, durant ses frasques. Le mari n’a pas l’air plus net. Assis l’un en face de l’autre nous farfouillons dans nos tissus respectifs. Je demande un bain afin d’enlever le savon qui me colle au corps. Une robinetterie très complexe projette de l’eau sur les parois de la baignoire, et en empêche l’accès. Dans une autre pièce il y a une vraie baignoire pleine d’une eau qui a déjà servi, quelle avarice; j’attends qu’elle se vide.
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