vendredi, août 08, 2014

Gloire et douleurs de la Callas fR2

J'ai pleuré deux fois, aux premières notes de "Médée"  de la Callas qui continue à nous donner la chair de poule, et parce qu'il y avait un Buzzle sur la 2 empêchant de profiter en entier de ce reportage sur la Diva. Nulle autre ne peut avoir cette somptuosité, ce délié, (il y a du Visconti là dessous) et cette intensité de tragédienne dans le chant. Les miracles n'ont lieu qu'une fois!

À la suite nous aurions dû entendre Roberto Allagna dans "Otello", une catastrophe, crachoteries des sons, avec des images fragmentées comme un puzzle.

Depuis hier c'est toutes nos chaînes qui dansent la sarabande, le soir j'ai tout de même appris que notre camembert n'était plus du goût de la Russie.

Lorsqu'il est question d'argent l'on se demande oû il ferait bon vivre, même en cavale ce ne doit pas être si confortable étant donné que tout le monde balance sur le Net.


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