lundi, février 14, 2005

Le vent

Une rafale de vent ma soulevée puis plaquée contre le capot d'une voiture, tel un fétu de paille.Je bavardais avec deux amis, ils n'ont pu me retenir. Eux font bon poids, ils n'ont pas été déstabilisés. La digue des Rôches Noires y a laissé du béton.

Cela souffle de partout, voilà que le Liban s'enflamme. Où allons nous?

Le train Caen -Paris avait lui, vingt minutes de retard. La semaine d'avant, celui de Paris-Deauville a heurté un automobiliste sur le passage de Capneville. Celui-ci étant mort on ne connaitra pas son opinion, il a été décrété que: Le danger de ce passage à niveau n'était pas probant!(sic)