dimanche, décembre 25, 2005

Le réveillon

Je me débrouillais toujours pour être hospitalisée ou travailler, je n'ai réussi qu'à m'allonger devant un plateau télé. Il faudrait que je rehausse celle-ci pour garder les yeux grands ouverts devant le petit écran. Bien entendu, j'avais raté la messe de minuit A trois heures du matin j'ai voulu rire avec La Classe, mais ces apprentis comiques, rient si forts avec leurs ainés invités dont Pierre Palmade, que je n'ai pas le temps de comprendre la drôlerie du sketch. Il en est de même avec les spectacles de fin d'années où participent tous les élèves y compris ceux qui sont dans la salle.
L'après midi, en achetant une escalope de dinde, je fus alléchée par le pâté de foie de canard. Je vous préviens, c'est cher, dit le boucher! à quoi a-t-il reconnu une forme d'indigence? Je lui ai pris quelques tranches de pain de seigle qui se sont avérées sèches, et j'ai fait comme d'habitude, casse-crouté en longeant les grilles de la Place des Vosges déjà fermées. A la volée, j'avais pù acheter un strudel au pavot rue des Rosiers, il n'était que 18h mais aucun commerce n'était plus ouvert. Donc, c'est la mondialisation du réveillon.

1 commentaire:

Crew Koos a dit…

C est sur que ce n est pas drole, moi j ai préféré bouquiner mon blog lol... et le tiens