Michel Chaudanson, après nous avoir projeté le truculent film The Decameron (Pier Paolo Pasolini-1971) il nous a présenté Stéphane Mazurier lequel nous a rafraîchi la mémoire sur les aléas et les succès de Hara Kiri. Delfeil de Thon a eu la gentillesse de l'écouter en souriant.
Evidemment il a été question de la fameuse fête pour la fin d'Hara Kiri dans une émission de Michel Polac et du tollé de la presse qui s'ensuivit. J'avais écrit mon petit mot d'humeur:
Samedi 2 janvier à Trouville. L'humour n'est pas roi à "Droit de Réponse" si l'on veut parler de la politesse la plus élémentaire: Suffert l'ennuyeux a du bien rigoler de vous voir tous aussi chiants. Une galerie monstrueuse d'intellos-éthiliques, j'en ai le coeur qui bat de honte devant cette agitation déliquescente d'anarchistes célèbres.
Ma copine était tout aussi hystérique pour contester l'émission, m'empêchant de l'écouter. Si cette contagion a gagné tous les foyers, on peut dire que vous avez crevé l'écran. Gainsbourg ponctuant les discours par des "pouette! Pouette!" de son ballon de baudruche. Sternberg noyé par l'alcool agitait ses mains en l'air pour s'accrocher à du solide...
Deux heures avant, aux actualités télé, un reportage sur les clochards ivrognes de Nanterre. Leurs regards et leurs propos étaient empreints de dignité, se réclamant de la seule liberté, ils n'avaient pas le fâchisme d'empêcher leur voisin de s'exprimer. En fait d'empoignade, la seule qui ait relevé le gant, attendant avec classe qu'on l'interroge pour les "cinq dernières minutes", et avec humour, ce fût Valérie Mairesse.
Jeudi prochain, c'est Rika Zaraï qui chantera pour nous.
Evidemment il a été question de la fameuse fête pour la fin d'Hara Kiri dans une émission de Michel Polac et du tollé de la presse qui s'ensuivit. J'avais écrit mon petit mot d'humeur:
Samedi 2 janvier à Trouville. L'humour n'est pas roi à "Droit de Réponse" si l'on veut parler de la politesse la plus élémentaire: Suffert l'ennuyeux a du bien rigoler de vous voir tous aussi chiants. Une galerie monstrueuse d'intellos-éthiliques, j'en ai le coeur qui bat de honte devant cette agitation déliquescente d'anarchistes célèbres.
Ma copine était tout aussi hystérique pour contester l'émission, m'empêchant de l'écouter. Si cette contagion a gagné tous les foyers, on peut dire que vous avez crevé l'écran. Gainsbourg ponctuant les discours par des "pouette! Pouette!" de son ballon de baudruche. Sternberg noyé par l'alcool agitait ses mains en l'air pour s'accrocher à du solide...
Deux heures avant, aux actualités télé, un reportage sur les clochards ivrognes de Nanterre. Leurs regards et leurs propos étaient empreints de dignité, se réclamant de la seule liberté, ils n'avaient pas le fâchisme d'empêcher leur voisin de s'exprimer. En fait d'empoignade, la seule qui ait relevé le gant, attendant avec classe qu'on l'interroge pour les "cinq dernières minutes", et avec humour, ce fût Valérie Mairesse.
Jeudi prochain, c'est Rika Zaraï qui chantera pour nous.
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