Rien ne vaut une chemise d'homme en coton, flottante à la taille, pour avoir un peu de fraîcheur. Heureusement j'en avais gardé d'un ex-jules, c'est bien de servir vingt ans après! Et un peintre m'a prise en pitié lorsqu'il a vu que l'on transpirait sans bouger sous mon toit. Il m'isole le plafond, en perdant des litres d'eau, on peut dire qu'il mouille sa chemise pour moi, et ses accents austro-hongrois rassénère ma libido de vieille dame, il me croyait de 15 ans plus jeune, je l'ai détrompé, mon lieu est trop exigu, je ne voulais pas qu'il y ait d'ambiguïté.
jeudi, juillet 19, 2007
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