mercredi, octobre 14, 2009
(53)Renaud attire ma main. Je sens qu’il va me demander de “mettre la main à la pâte”, selon sa propre expression. Des larmes me jaillissent des yeux. Dans des hoquets hystériques de colère et de désespoir, je hurle qu’il n’est pas possible d’avoir des rapports aussi peu spontanés. Cela me rend malade et dérange l’idée que je me fais de ma féminité, qui demande plus à être prise que de jouir par des subterfuges, avec la désagréable sensation de sa fixation extra-vaginale.
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