(56)Vous dormez, allongé sur le ventre. Lentement, j’écarte vos fesses pour laisser apparaître votre anus. Le désir de vous prendre fait que j’y introduis une cigarette blanche. Aussitôt lubrifiée celle-ci ne casse pas, malgré le mouvement que je lui imprime. Et ces mêmes mouvements se transmettent à mon ventre qui ne repose sur rien.
Notre excitation est identique, bien que n’allant pas jusqu’à l’orgasme.
vendredi, octobre 30, 2009
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