vendredi, octobre 30, 2009

(56)Vous dormez, allongé sur le ventre. Lentement, j’écarte vos fesses pour laisser apparaître votre anus. Le désir de vous prendre fait que j’y introduis une cigarette blanche. Aussitôt lubrifiée celle-ci ne casse pas, malgré le mouvement que je lui imprime. Et ces mêmes mouvements se transmettent à mon ventre qui ne repose sur rien.
Notre excitation est identique, bien que n’allant pas jusqu’à l’orgasme.

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