((110)*Durant trois nuits nous dormons Georges et moi en toute confiance. Je sens seulement de temps en temps son bras, sous ou bien sur ma tête. Au matin du troisième jour il m’embrasse. Tout bascule, je chavire dans une plénitude sensorielle extraordinaire d’érotisme, de trouble, de tendresse absolue. Puis son doigt me pénètre, toujours cette sensation d’ineffable, j’attends qu’il me prenne.
Comment expliquer ceci à sa femme? Est-ce explicable après vingt années d’amitié, et le faut-il ?
jeudi, juin 02, 2011
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