En sortant Porte de ceci, ou de cela, je dois dire que lever les yeux vers les cieux dont les nuages sont troués par ces tours montés en flèches, et voir encore accotés à leurs murs de vieilles maisons vétustes, quelques arbres efflanqués qui s'essoufflent à prendre de la hauteur, c'est un décor hétéroclite très photogénique, bien qu'urbain autant qu'inhumain, j'admire.
Et dans les transports en commun ce sont toujours les étrangers qui me cèdent leur place, ils doivent aimer les cheveux blancs...Je me retiens de marquer ma désapprobation a ces ravissantes choses que sont nos ados, me disant, Tant pis pour eux, tant pis pour leurs parents!
lundi, janvier 16, 2012
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