J'apprends que l'on ne distribue plus qu'un seul courrier par jour, les émails, internet, les grandes entreprises, peu de lettres. J'attends le facteur, les boites sont petites, mes chaussures n'y rentreront pas, on m'a déjà piqué des vélos dans la cour. Bêtement, puisqu'il ne vient qu'entre 10 et 11, plutôt tardivement, j'en profite tant qu'à faire le guet de laver mon linge. Mais la laverie est dans une rue perpendiculaire à la mienne, je fais donc des navettes entre la machine à laver et ma porte pour ne pas rater le facteur. Cela me prends toute l'heure, alors que j'aurais pu faire des jeux fléchés assise sur une marche à l'ombre d'un porche. C'est lundi, peu de passage dans la rue, on se croirait dans une ville de province tous commerces fermés, pas un bistrot d'où surveiller les gens. D'avoir voulu faire un "deux en un" me voila dans le tintoin. Finalement la machine s'arrête, j'ai à peine le temps de sortir mes vêtements , le facteur arrive, il veut bien me donner le paquet, me reste à faire sécher les cotons, et épuisée par cette aventure, je remonte mes cinq étages pour m'allonger sur mon lit afin de ne pas dégoutter sous ce zing qui chauffe à blanc. J'irais prendre le train demain...
lundi, juin 18, 2007
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire