vendredi, juillet 15, 2011
(111)*Je suis chez mes amis les Wallard, dans leur salle de bain. Je défèque une quantité inimaginable de matières fécales sans que mon ventre en soit soulagé. Comme cela continue d’appuyer sur l’anus, je vais à la main chercher ce qui tarde à sortir, afin de ne pas impatienter mes amis. Plus j’en sors, plus il en reste à sortir, la cuvette des W.-C. est pleine et je n’ai pas fini. Je tire sur la chaîne de la chasse d’eau, mais en rajoutant de l’eau ça déborde, un pan de ma robe de chambre est souillé, et il faudrait que j’évacue encore.
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