mardi, novembre 08, 2011

Le noble vieillard dit des siennes -walterlewino.unblog.fr

Posté par walterlewino dans : SOCIETE , ajouter un commentaire
Un seul remède à l'ennui : les problème
Tout vagin est mystère.
Tout plaisir suppose une victime.
Les névrosés parlent aux autres, les psychotiques s'adressent à eux-mêmes.
« L'Angélus » de Millet exprime davantage la foi que toutes les Piétas de la Renaissance
La roue fut plus difficile à inventer que l'ordinateur.
Quand un philosophe n'a pas de pensée originale, il en fait un livre. Quand il en a une, il en fait une école.
Que des gens aussi cons que les Américains aient pu faire un aussi grand peuple reste un mystère.
Plutôt écrire juste que bien écrire.
La basse-cour nous nourrit, la haute cour nous condamne.
Les riches ont des traditions, les pauvres des habitudes.
 Le fruit défendu dont parle la Genèse était probablement une figue : fermée c’est un scrotum, ouverte un vagin.
Suis-je raciste ? le moins possible !
On se demande à quoi ça sert de vieillir.
L’or brille tellement qu’il aveugle
 Trop et pas assez sont la pelle et la bêche du fossoyeur
Je suis trop mégalo pour être arriviste.
L’Anglais observe la femme pendant trois mois et la saute en trois minutes.
 Il m'a fallu très longtemps pour apprendre des choses que d'autres savaient de naissance.
Bach méritait-il les émotions qu'il nous apporte ?
Les rêves érotiques n’ont jamais rien d’érotique.
 Très rapidement ils couchèrent ensemble, que faire d'autre avec une femme ? (avec un homme ?)
Les femmes jalousent les épouses de leurs amants, les hommes méprisent les maris de leurs maîtresses.
De tout temps l'homme en colère a brisé son écuelle.
Un seul remède à l'ennui : les problèmes.
Etre moderne, c'est anticiper les ricanements de demain.
La femme est une voix de passage, l'homme une voie de garage...Sa jeunesse est une des rares choses qu'on puisse gâcher sans inconvénient.
La décadence date de l’invention de la roue.
La pédophilie est un vilain plaisir.
La femme a toujours connu des problèmes avec l'autorité, qu'elle la subisse ou qu'elle l'exerce.
Fauve à la maison, mouton au boulot. Chien au boulot, toutou à la maison.
La bonne langue 6 novembre, 2011
Posté par walterlewino dans : CULTURE , ajouter un commentaire
On dit volontiers pour parler d’une rupture rapide que cette passion n’a pas fait long feu. Or elle a justement fait long feu. L’expression,d’origine militaire, remonte aux anciens temps de la poudre noire, faire long feu signifiait qu’au lieu d’exploser ladite poudre partait en flammes. Ne pas faire long feu signifiait donc réussir.
Pour parler d’un malin on dit qu’il a tiré les marrons du feu. Grave erreur, relisez la Fontaine. Le baisé est celui qui retire les marrons, le chat, et le malin celui qui les croque, le singe.
Pour expliquer des suppressions importantes on parle de coupes sombres alors que l’expression est empruntée au langage forestier où les coupes sombres signifient que quelques arbres seulement sont abattus contrairement aux coupes claires qui en épargnent peu.
Et voici en guise de dessert trois expressions courantes qui relèvent d’avantage de l’incohérence que de l’ignorance :
S’avérer faux alors que s’avérer signifie se révéler exact
Un soi-disant coupable alors que précisément il est soi-disant innocent.
Partir à New York, alors qu’on prend l’avion à Paris et que l’on part pour New Yorkshire

Quéquette blues
Vous y croyez, vous, à la rédemption des détractés sexuels  pendant leur séjour en prison ?
D’abord nous n’avons pas les moyens d’embaucher tous ces psychiatres nécessaires qui eux-mêmes n’ont pas les moyens de « guérir » quiconque de quoi que ce soit. Vous en connaissez, vous, des gens que la psychiatrie ou la psychanalyse a « guéris ». On demande à les
Rencontrer. Ca leur permet de prendre leur mal en patience, de s’accepter un peu mieux, mais d’être guéri, d’être guéri de quoi ? Est-ce qu’on peut guérir du nanisme, de la haine du père, du complexe d’infériorité, des angoisses natives et de la folie des grandeurs ? Quant au 
priapisme et à la nymphomanie.
Alors, « guérir » les violeurs, les pédophiles, les tordus de la braguette et les  déviants du zizi… vous pouvez toujours les plaquer sur tous les divans des enfants de Sigmund, surtout sans les faire payer : échec garanti.
Le suivi psychiatrique n’est pas la seule méthode envisagée par nos gouvernants. Sarkozy, en personne, du temps où il n’était que ministre, suggéra un mystérieux traitement médicamenteux. On a aussi évoqué la castration, puis on a misé sur le bracelet électronique, mais à moins de le placer sur la quéquette on voit mal comment il peut empêcher la récidive.

Dernière trouvaille : la rétention de sûreté. Une fois qu’il a terminé sa peine le condamné reste en taule, à moins qu’une commission décide que le mec est totalement guéri. Viol de la loi contre viol des femmes.

Tout le monde sait cela. D’accord ! Alors ? alors ?  Si, une fois leur peine terminée, au seuil de la liberté, on demandait aux repentants, vrais ou faux, de s’expliquer, de raconter la  lente montée de la déviance jusqu’à l’irrépressible besoin de son aboutissement, de jurer qu’ils se sentent maintenant capables de la contrôler.

Mais, attention, il ne s’agit ni de révélation au psycho, ni d’aveu aux flics, ni de promesses au juge d’application des peines. Non, une grande confession publique à la télé, que tout le monde, surtout les femmes, voit bien son visage, entende bien sa voix, puisse apprécier son degré de sincérité. Une sorte de deal publique difficile à briser. Cela devrait aider un peu à mieux le comprendre, mais surtout à bien le repérer en cas de menace.

Ne pas négliger non plus le côté dissuasif chez les apprentis violeurs.

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