Quatre projets de travail toujours en suspens Et deux textes sous le coude non corrigés faute d'ordinateur, j'ai donné au plus pressé, les dents. Le vent, la canicule, la pluie, donnent du mou pour les exercices de plein air, mes copines ont des habitats où elles se remuent, moi je m'allonge sur les planches de ma couche et je regarde les documentaires prolifiques sur les bestiaux. Hahoutoff m'avait dit que "les intellectuels restent souples et toniques car tous les muscles, par voie réflexe, travaillent lorsque le cerveau est sollicité" cela me déculpabilise de ma flemme.
Toujours ce délice du petit déjeuner en terrasse chez Willy, seul tronçon véritable dans la rue des Bains, sans voiture, ou concurrence au chant des oiseaux le vrombissement au ras des petites maisons de pêcheurs, du vol pour les Baléares des riches de Deauville, l'aéroport est au dessus de nos têtes à nous trouvillais, j'ai quand même entendu le clocher du village.
jeudi, juillet 09, 2015
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