Je dois rendre son sexe à Topor. comment faire, nous sommes entourés de gens, dans un lieu public, d'autant que ce bout de boyau vidé de toute substance c'est plutôt minable. Je le cache dans ma main, cherchant de quoi l'envelopper, ne serait-ce que dans un pli de ma robe, pour le lui remettre de la main à la main. Quelle est la circonstance qui a présidé à l'affaire, je ne m'en souviens pas. Le plaisir a dù être normal puisque je n'ai aucun sentiment de frustration. C'est la première et probablement la dernière fois, depuis que nous nous connaissons. je réalise que je n'ai pas dù prendre de protection, alors je vais me laver le derrière pour limiter les dégats,Sida et autres. Puis, toujours attablés au bistrot, nous devisons. Il a deux enfants qui ont dormi dans ma chambre laquelle contient deux grands matelas doubles, et deux normaux. Topor cherche une solution d'hébergement pour quelques jours de vacances: Tes enfants peuvent très bien dormir dans cette salle, elle est grande, les lits sont séparés!. C'est comme dans un hangar, sans meubles, juste pour dormir. Nathan vient nous rejoindre, et tout naturellement, je m'adosse contre lui, la tête dans son cou, comme si cela allait de soi. Cela ne peut pas vexer Topor qui connaît nos douloureuses et anciennes amours. Le surprenant, c'est que Nathan ne se défend pas de ma lascive tendresse en public. Dans cet établissement perdu en campagne on a reconstitué l'atmosphère des bistrots parisiens par le simple fait de ces trois rencontres. J'ai toujours le sexe de Topor dans un pli de ma robe, chiffonné dans ma main.
Dans un sentier bordé par des plants grimpants de haricots verts: Mais ce sont mes haricots verts, c'est moi qui les ai plantés!. Je me mets à remplir ma jupe à défaut de sac. Il est temps de les cueillir car certains pourrissent déjà tellement ils sont énormes. Au passage je fauche une salade, des bananes, et des poires qui sont étalées sur une claie. Il y a aussi de belles noix par terre, pour les protéines, mais ce serait trop encombrant. J'ai déjà à manger pour plusieurs jours.
Dans un sentier bordé par des plants grimpants de haricots verts: Mais ce sont mes haricots verts, c'est moi qui les ai plantés!. Je me mets à remplir ma jupe à défaut de sac. Il est temps de les cueillir car certains pourrissent déjà tellement ils sont énormes. Au passage je fauche une salade, des bananes, et des poires qui sont étalées sur une claie. Il y a aussi de belles noix par terre, pour les protéines, mais ce serait trop encombrant. J'ai déjà à manger pour plusieurs jours.
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