Je l'ai vu dans un Molière, Le malade imaginaire avec Valérie Mairesse, ils étaient parfaits tous deux. A la Maison de la Poésie, donnant du Cocteau, on voyait le maitre, malgré la silhouette qui ne correspondait pas au côté émacié du poète, Jean-Claude Dreyfus était habité par l'auteur.
A Trouville, durant le Off-Court qui lui consacrait un hommage, il a donné un récital de chansons.
L'entendant chanter ce dimanche rue des Platriers, je le verrais bien dans le rôle de Méphistophélès de Faust, Il en a le charme pervers et joue très bien du rideau rouge comme d'une cape,et le refrain que reprend le public en choeur:
Supplice chinois
Quand je suis en toi
Délices chinois parfois
Quand je suis sans toi
L'ambivalence des artistes leur permet de séduire hommes et femmes.
lundi, avril 06, 2009
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