jeudi, novembre 04, 2010
(97)*A cheval, à cru, mes jambes bien serrées à l’avant de l’animal, les genoux coincés sous ses omoplates. J’en deviens amoureuse et mon désir est partagé, car bien que ne sachant pas monter, la bête galope au mieux avec moi comme écuyère. Pendant la course, je sens même sa main me tâter le bas-ventre prêt à jouir. Je lui rends la politesse en me cambrant de façon à toucher son organe. Il est énorme, ce serait magnifique de me faire posséder mais je crains d’être pourfendue par les réactions sauvages et imprévisibles d'un animal en chaleur. Si seulement il me laissait le guider!
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