Le festivalier peut le regretter. Il doit se barder d'un sac à dos avec des provisions pour faire face à x séances, l'émotion ça creuse. Question convivialité ce n'est pas un quartier populaire comme l'avenue Clichy,au Cinémas des Cinéastes il y avait des recoins où l'on pouvait converser sans être dans la rue, croiser le regard avec quelques réalisateurs et acteurs, et je trouvais des cynerbars à 2 euros l'heure pour taper sur le Net entre deux séances.Le snack bar en face ne devait pas franchement dépayser les invités d'Outre-Atlantique. Gloire oblige, les Champs-Elysées sont à même de faire un pont commercial avec le Québec.
Je file à La Géode, mon neveu y trimballe les filles! (sa belle-mère, sa femme et moi)"Les forces de la nature" Istamboul est sur la fracture programmée pour un prochain séisme. Il veut y tenter sa chance, il n'aime pas Paris et pour un voileux on ne peut pas dire que les plans d'eau y pullullent. Et le ski au Canada refroidirait le tempérament méditerrannéen de sa femme, craint-il.
C'était curieux de sortir d'un paysage du Québèc à la veille de Noêl pour voir tous les dangers en Turquie, à la Géode.
En cassecroutant dans le noir j'ai pù voir 15 films et j'ai regretté ne pas tout voir, cela berce mes douleurs de savoir que nous sommes tous égaux devant la merde.
mardi, novembre 28, 2006
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