(17)*Tu n’es point là, Nathy. Tel une luciole, vous avez dû rester accroché à une fille lumière, incandescente de beauté. Alors je décide d’en séduire une, de celles qui pourraient vous plaire, pour en pensée ne pas être isolée de vos désirs. Justement, en voilà une brune, belle plante qui trouve naturel de s’allonger illico. Nous retroussons mutuellement nos robes. Couchées côte à côte, nous appliquons nos mains sur le ventre l’une de l’autre. Je touche son clitoris. Elle me fait signe que c’est bien là, et uniquement là, que je puis l’émouvoir.
Il me semble qu’avec votre instinct, ce jeu va vous attirer dans les parages. Et vous voilà, soulevant le rideau de tulle qui nous séparait des gens. Mais je ne trouve aucun charme à essayer de faire jouir cette fille. Je coupe court.
jeudi, mai 21, 2009
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