Je suis pistée sur la toile je le vois, cela m'oblige à une auto-censure et de jouer au chat et à la souris, l'histoire y retrouvera bien ses petits.
Toujours ces gens qui mettent les bras derrière le dos, se protègent de je ne sais quelle calamité, et finissent frustrés par baisser leur pantalon. Ma poitrine est à nouveau libre. J'ai eu durant quarante ans la vie pourrie par des chantages affectifs, puis la dernière année parce qu'on ne m'appelait plus, maintenant il y a l'après. Partout il fait beau, cela donne envie de déménager.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Bonjour Dorothée.
C'est à moi que vous faites allusion? Il est vrai que je regarde régulièrement votre blog (et ce, bien avant la mort de mon père) mais nullement pour vous surveiller, croyez-moi. Simplement parce que je le trouve intéressant et sensible; mais bien sûr aussi et surtout parce que vous parlez de mon père en des termes qui me touchent.J'appprends aussi des choses sur lui, je vois des photos de lui. J'ai sans doute besoin de tout cela en ce moment... Je respecte ce que vous avez vécu ensemble, et il serait malheureux que vous vous censuriez.
Vous savez, ma mère n'a pas reçu davantage de mots de condoléances que vous... Je trouve cela inexplicable. Rien, en effet, de ses éditeurs, à part Hélène Oswald.
Denoël -silence de tombe...
Bon, un blog c'est fait pour être lu? Pourquoi pas par moi? Cessez de penser que je suis votre ennemi.
Jean-Pol S
PS: à tout hasard, je vous donne mon e-mail: cyrilvegh@yahoo.fr
Enregistrer un commentaire