Avant on parlait des Congés payés, aujourd'hui il s'agit du Tourisme de masse
Et la panique au Club c'était au mois d'août, avec l'arrivée du Sentier
Quand au vélo: je me suis fais écrabouiller par une femme en voiture, j'étais accroupie pour détacher mon antivol accroché à la barrière d'un super marché, la femme a reculé, je ne pouvais me relever coincée par la barre de fer, à mes cris un passant a tapé à sa portière, elle s'est en allé sans demander son reste. On a pas eu le temps de relever le numéro d'immatriculation.
Une autre fois, sur les quais, un camion m'a fait une queue de poisson, je suis tombée, le camion s'est arrêté à une centaine de mètres, quand il a vu que je me relevais, il m'a fait un bras d'honneur, mes deux roues étaient entièrement tordues.
l'évènement heureux ça été en solex, je descendais de Meudon, ne sachant choisir la Seine à gauche, ou continuer tout droit sur le bd. Saint-Germain, l'envie d'en finir me taraudait, une queue de poisson d'une voiture m'a forcé à virer à droite, rue du Bac, c'était un signe, il y avait un professeur, Niels Hahoutoff, qui y donnait un cours, va pour le yoga!
Maintenant je marche dans des chaussures qui se balancent de la pointe des pieds aux talons, afin de muscler les fessiers, ce qui est sur c'est que la bascule du bassin corrige la cambrure, je sens moins les becs de perroquet.
samedi, juillet 30, 2011
((
(113)*Renaud et moi sommes dans le même lit. Cela finit par m’agacer, que nous n’ayons pas envie l’un de l’autre. Je grimpe sur son flanc afin de nous exciter, puis je monte franchement sur son ventre. Nous sommes enlisés comme deux escargots dans une même coquille, en douceur, bercés, sans la virulence du désir. Mentalement, je calcule que c’est la première fois depuis six mois que nous avons une relation sexuelle. Des plaques blanchâtres sont éjectées de mon vagin, comme les plaques d’une cheminée pas ramonée depuis longtemps.
(114)*Cette nuit, je suis dans un appartement, qui pourrait être spacieux. En frottant la crasse du plancher pour mettre le bois au jour, celui-ci s’effrite sous mes doigts, complètement pourri. Le gras de la poussière servait d’enduit pour maintenir les molécules du bois.
(113)*Renaud et moi sommes dans le même lit. Cela finit par m’agacer, que nous n’ayons pas envie l’un de l’autre. Je grimpe sur son flanc afin de nous exciter, puis je monte franchement sur son ventre. Nous sommes enlisés comme deux escargots dans une même coquille, en douceur, bercés, sans la virulence du désir. Mentalement, je calcule que c’est la première fois depuis six mois que nous avons une relation sexuelle. Des plaques blanchâtres sont éjectées de mon vagin, comme les plaques d’une cheminée pas ramonée depuis longtemps.
(114)*Cette nuit, je suis dans un appartement, qui pourrait être spacieux. En frottant la crasse du plancher pour mettre le bois au jour, celui-ci s’effrite sous mes doigts, complètement pourri. Le gras de la poussière servait d’enduit pour maintenir les molécules du bois.
jeudi, juillet 28, 2011
Les mères battues
On parle toujours des femmes battues, mais jamais des mères battues,dont le rejeton s'écrie devant les copains; Je nique ma mère! elles se retrouvent souvent seules, lors des vacances, à gérer le conflit avec un ado de quatorze-ans qui ne veut en rien participer à la vie familiale, ni petit dèj', ça dort tout l'après- midi, la chambre refermée sur un nombre d'invités dont les parents ne connaissent pas l'identité, et le frigo dévalisé par tous ces chats qui passent par le balcon dans la nuit. C'est le lamento de l'été, eux vivent leur vie, peu de structures ont des places pour les recevoir en stage et c'est cher, les adultes ne sont là que comme vache à lait, à la limite braqués pour fournir le plaisir d'une fumette collective. Et les mères pleurent de ne pouvoir profiter de leur petit homme, l'autre est souvent indisponible, travaillant jusqu'à ce qu'il n'ait plus qu'un rôle de vieux rangé des voitures.
mercredi, juillet 27, 2011
Artaud-Padok
Lettres d'Antonin Artaud: Magnifique lecture faite par Jeanne Heuclin, on entendait Artaud tel que je l'ai entendu dans des documentaires faits sur lui, c'était déchirant, et la scénographie de Dominique Houdard ,avec les personnages de l'asile de Rodez, patients et psy en ombres chinoises derrière les fenêtres de la maison, c'était parfait d'intelligence et de sensibilité. J'ai rarement adhéré autant à une lecture, j'ai baisé la main de la comédienne. "Ce qui est démocratique, c'est à faire du petit cercle de connaisseurs un grand cercle de connaisseurs"
Bertholt Bretch
Des femmes en création- "Portrait d'une passeuse"
Jackie Buet est interrogée par Agnès Ruppli sur ses motivations pour le Festival des femmes à Créteil On retrouve dans ce documentaire (aucun narcissisme)la simplicité et l'intelligeance de Jackie Buet dont l'énergie tranquille à permis à des centaines de femmes de montrer leurs films pas forcément vus dans des pays où sévit la censure. Et j'ai toujours été frappée par le souffle des gens de l'Est, elle-même le dit que ce sont les tchèques qui l'ont le plus émue!
vendredi, juillet 22, 2011
L'Alpe d'Huez
C'est un décor lunaire, que des cailloux, et des marmottes cachées derrière. J'adorai ce lieu venté, car les arbres n'y repoussaient pas à cause de ce même vent, ils avaient été décimés pour ouvrir des mines.
C'était l'année de gloire de Hinaut qui avait dîné au Club Med. A l'arrivée, les coureurs étaient si tétanisés qu'ils leur fallait l'aide de deux personnes, l'une tenant le vélo, et l'autre les aidant à descendre de la selle. Après vingt minutes on les voyaient vaillamment redescendre la côte pour rejoindre leur hôtel.
Pour avoir une idée des efforts, de Bourg d'Oizan, j'ai tenté monter à pied la route, en vain, épuisée j'ai du faire du stop.
C'est la foule qui m'affole, elle est bête la foule, toujours des petits malins qui courent à pied derrière leurs idoles au risque de les déséquilibrer, leur versant de l'eau, ou traversant,inopinément la route devant les voitures suiveuses, et les pépères et mémés saucissonnant devant leur caravane,gras comme des chapons, attrapant au vol les cadeaux des caravanes publicitaires.
Beaucoup de hollandais dans cette étape mythique qui est la leur. Jusque dans le cimetière on campe faute de place.
Thomas Voeckler à vraiment l'air d'un bon garçon, il faut du coeur pour résister à toute cette pression.
Depuis vingt ans, la montagne n'a pas changée, elle est toujours aussi pelée!
C'était l'année de gloire de Hinaut qui avait dîné au Club Med. A l'arrivée, les coureurs étaient si tétanisés qu'ils leur fallait l'aide de deux personnes, l'une tenant le vélo, et l'autre les aidant à descendre de la selle. Après vingt minutes on les voyaient vaillamment redescendre la côte pour rejoindre leur hôtel.
Pour avoir une idée des efforts, de Bourg d'Oizan, j'ai tenté monter à pied la route, en vain, épuisée j'ai du faire du stop.
C'est la foule qui m'affole, elle est bête la foule, toujours des petits malins qui courent à pied derrière leurs idoles au risque de les déséquilibrer, leur versant de l'eau, ou traversant,inopinément la route devant les voitures suiveuses, et les pépères et mémés saucissonnant devant leur caravane,gras comme des chapons, attrapant au vol les cadeaux des caravanes publicitaires.
Beaucoup de hollandais dans cette étape mythique qui est la leur. Jusque dans le cimetière on campe faute de place.
Thomas Voeckler à vraiment l'air d'un bon garçon, il faut du coeur pour résister à toute cette pression.
Depuis vingt ans, la montagne n'a pas changée, elle est toujours aussi pelée!
jeudi, juillet 21, 2011
En ou à ?
Je suis étonnée que les commentateurs du tour de France ne fassent pas la différence entre Monter en voiture et aller à vélo.
lundi, juillet 18, 2011
C dans l'air Y a t'il du Poulidor dans Thomas Voeckler?
Le public compatissait quand j'avais une malchance! Je ne serais pas resté aussi connu si j'avais gagné le Tour de France!(Poulidor)
Anquetil était un cerveau pédalant!
Le français est trop intelligent pour savoir pédaler!(Léon Zitrone, à propos de Mercks qui venait de gagner)
On ne parle plus de la lanterne rouge, le dernier de la course, plébicité par les gens qui le poussait pour qu'il arrive à franchir la ligne d'arrivée, et du coup, il avait d'avance des contrats à la clef.
Je me rappellerais toujours du petit Claret offert par un couple d'agriculteurs parce que je leur avait cédé ma place dans la voiture publicitaire qui montait le Mont Ventoux.
Anquetil était un cerveau pédalant!
Le français est trop intelligent pour savoir pédaler!(Léon Zitrone, à propos de Mercks qui venait de gagner)
On ne parle plus de la lanterne rouge, le dernier de la course, plébicité par les gens qui le poussait pour qu'il arrive à franchir la ligne d'arrivée, et du coup, il avait d'avance des contrats à la clef.
Je me rappellerais toujours du petit Claret offert par un couple d'agriculteurs parce que je leur avait cédé ma place dans la voiture publicitaire qui montait le Mont Ventoux.
vendredi, juillet 15, 2011
Le visage- Magasine de la santé- FR5
Transgression, la greffe du visage!!!
La beauté c'est d'abord la qualité de la peau!
Ceux qui ont une bonne qualité de peau veillissent le mieux!
Etre coquet est une pulsion de vie!
On vit parce qu'on est regardé par l'autre!
Les fils d'or, il faut les mettre autout du cou, c'est très joli, mais jamais à l'intérieur!
La beauté c'est d'abord la qualité de la peau!
Ceux qui ont une bonne qualité de peau veillissent le mieux!
Etre coquet est une pulsion de vie!
On vit parce qu'on est regardé par l'autre!
Les fils d'or, il faut les mettre autout du cou, c'est très joli, mais jamais à l'intérieur!
Très bonnes vacances,si vous avez la chance de pouvoir en prendre!
C'est la phrase rituelle que disent tous les animateurs télé après leur émission, je croyais que c'était un dù les vacances pour le pauvre pékin qui a travaillé toute l'année, ainsi que l'écolier après le stress des examens.
(111)*Je suis chez mes amis les Wallard, dans leur salle de bain. Je défèque une quantité inimaginable de matières fécales sans que mon ventre en soit soulagé. Comme cela continue d’appuyer sur l’anus, je vais à la main chercher ce qui tarde à sortir, afin de ne pas impatienter mes amis. Plus j’en sors, plus il en reste à sortir, la cuvette des W.-C. est pleine et je n’ai pas fini. Je tire sur la chaîne de la chasse d’eau, mais en rajoutant de l’eau ça déborde, un pan de ma robe de chambre est souillé, et il faudrait que j’évacue encore.
jeudi, juillet 14, 2011
La légion d'honneur
Je donnerais bien une légion d'honneur posthume à cette jeune femme qui s'est porté au secours d'une autre femme prise dans le tourbillon d'une rivière, elles sont mortes noyées toutes les deux.
(112)*Laura, toute poudrée pour nous recevoir, a perdu ses joues fraîches. Elle erre telle une somnambule. Il y a une quinzaine de personnes qui pique-niquent de pommes de terre en robe des champs, et de croissants. Deux messieurs entourent gentiment la maîtresse de maison.
Ressentant le besoin de m’isoler, je vais vers l’entrée. Laura est là, assise à une petite table, se tirant les cartes. Elle veut me dire qui je suis en regardant les lignes de ma main, et me faire les cartes. Elle a l’air un peu exaltée, comme si elle avait bu. Elle ne me dit que deux ou trois généralités, du tout venant.
Ressentant le besoin de m’isoler, je vais vers l’entrée. Laura est là, assise à une petite table, se tirant les cartes. Elle veut me dire qui je suis en regardant les lignes de ma main, et me faire les cartes. Elle a l’air un peu exaltée, comme si elle avait bu. Elle ne me dit que deux ou trois généralités, du tout venant.
Tilly chez ventscontraires.net
[niguedouille] promotion du 14 juillet 2011...
" Bienvenue parmi les chroniqueurs de ventscontraires.net..."
Je n'aurais pas été plus fière en lisant mon nom ce matin au Journal Officiel avec ceux des promus dans l'Ordre de la Légion d'Honneur !
Et me voilà, moi, dessinée par l'excellent Stéphane Trapier, petite nouvelle tout juste bizutée rejoignant l'escadrille des chroniqueurs aguerris (et dont certains, prestigieux !) de cette chouette publication 2.0
Vais-je prendre le vent ? ou un bouillon ? en faire tout un plat ?
Pour le savoir... suivez-moi sur ventscontraires.net !jeudi 14 juillet 2011 dans Hum[o|e]ur,tillybayardrichard.typepad.com/
" Bienvenue parmi les chroniqueurs de ventscontraires.net..."
Je n'aurais pas été plus fière en lisant mon nom ce matin au Journal Officiel avec ceux des promus dans l'Ordre de la Légion d'Honneur !
Et me voilà, moi, dessinée par l'excellent Stéphane Trapier, petite nouvelle tout juste bizutée rejoignant l'escadrille des chroniqueurs aguerris (et dont certains, prestigieux !) de cette chouette publication 2.0
Vais-je prendre le vent ? ou un bouillon ? en faire tout un plat ?
Pour le savoir... suivez-moi sur ventscontraires.net !jeudi 14 juillet 2011 dans Hum[o|e]ur,tillybayardrichard.typepad.com/
mercredi, juillet 13, 2011
mardi, juillet 12, 2011
La soif du mal-Arté-Orson Wells
Orson Wells incarne si bien le mal que toute la nuit j'ai rêvé être poursuivie.
Ah! Rabelais interprêté par Michel Aumont
Entendre du beau language c'est jouissif! Parfois, la télé s'y met!
L'âme ne peut vivre en lieu sec!
Il faut résister au courant, aller à rebours, toujours à rebours!
L'âme ne peut vivre en lieu sec!
Il faut résister au courant, aller à rebours, toujours à rebours!
I, me and myself -Walter Lewino
Nouvelle version des “Bateliers de la Volga”http://walterlewino.unblog.fr
Walter, Edmond, Léonce Lewino 1924-201?
Fils du peintre anglais, Walter Affroville Lewino, et petit-fils de Léonce Tobo, créateur des syndicats ouvriers de Boulogne-sur-Mer.
En 1941, âgé de 17 ans et demi parvient à s évader de France par l’Espagne à rejoindre l’Angleterre.
En a profité pour se rappeler au bon souvenir des nazis à 70 reprises, grâce à des bombardiers gentiment mis à la disposition des Français Libres par la Royal Air Force
En fut récompensé par la Légion d’honneur, la Médaille militaire, quatre citations à sa Croix de guerre et 5 000 francs pour reprendre ses études, passer son bac et une licence de lettres. Fut le président éphémère de La Fédération des Groupes de Lettres (UNEF) le temps de défendre la création de l’agrégation de français moderne face à une troupe de latinistes enracinés dans leurs certitudes.
Fut longtemps correcteur (Journal officiel, Combat, l’Equipe, Les Lettres françaises, l’ONU…)
Puis, sous le pseudonyme de Didier Mazeau, devint le mathématicien du tiercé et, sous celui de Pierre Talbero, le premier astrologue hippique. Auteur, au passage, du mémorable Guide du tiercé, les 44 recettes gagnantes, chez Albin Michel, son best-seller.
Bascula enfin dans un journalisme plus sérieux (Arts, France Observateur, l’Express, le Point, le Nouvel Observateur où il approcha des sommets avec le titre de rédacteur en chef adjoint).
Y fut surtout apprécié pour son humour et son aptitude à verser quelque fantaisie au cœur de lecteurs saisis par la langueur estivale : « les Jeux du Point », « les tests du Nouvel Observateur »
Parallèlement, a bricolé à la télé sans en tirer une grande satisfaction.
A fréquenté d’assez près, Pierre Mendès France, Romain Gary, Nicolas de Staël, Alexandre Vialatte, Jean Dubuffet, Guy Debord et quelques personnalités de moindre calibre.
Son œuvre de romancier se résume à une douzaine d’ouvrages qui connurent plus de succès d’estime que de réussite commerciale. Ils lui ont valu trois prix littéraires. Comment leur échapper ?
A écrit plusieurs scénarios de cinéma qui ont laissé la profession indifférente. S’en est consolé en inventant un jeu de stratégie, le Shootball, qui aux dires de spécialistes offre autant de possibilités que les échecs.
Consacre sa retraite en Noble Vieillard Facétieux avec un blog quotidien et ininterrompu, où il s’amuse à détourner des gravures populaires du XIXe. (walterlewino.unblog.fr)
Ce long périple lui a, toutefois, laissé le loisir de concevoir deux enfants et de les élever à peu près correctement
Walter, Edmond, Léonce Lewino 1924-201?
Fils du peintre anglais, Walter Affroville Lewino, et petit-fils de Léonce Tobo, créateur des syndicats ouvriers de Boulogne-sur-Mer.
En 1941, âgé de 17 ans et demi parvient à s évader de France par l’Espagne à rejoindre l’Angleterre.
En a profité pour se rappeler au bon souvenir des nazis à 70 reprises, grâce à des bombardiers gentiment mis à la disposition des Français Libres par la Royal Air Force
En fut récompensé par la Légion d’honneur, la Médaille militaire, quatre citations à sa Croix de guerre et 5 000 francs pour reprendre ses études, passer son bac et une licence de lettres. Fut le président éphémère de La Fédération des Groupes de Lettres (UNEF) le temps de défendre la création de l’agrégation de français moderne face à une troupe de latinistes enracinés dans leurs certitudes.
Fut longtemps correcteur (Journal officiel, Combat, l’Equipe, Les Lettres françaises, l’ONU…)
Puis, sous le pseudonyme de Didier Mazeau, devint le mathématicien du tiercé et, sous celui de Pierre Talbero, le premier astrologue hippique. Auteur, au passage, du mémorable Guide du tiercé, les 44 recettes gagnantes, chez Albin Michel, son best-seller.
Bascula enfin dans un journalisme plus sérieux (Arts, France Observateur, l’Express, le Point, le Nouvel Observateur où il approcha des sommets avec le titre de rédacteur en chef adjoint).
Y fut surtout apprécié pour son humour et son aptitude à verser quelque fantaisie au cœur de lecteurs saisis par la langueur estivale : « les Jeux du Point », « les tests du Nouvel Observateur »
Parallèlement, a bricolé à la télé sans en tirer une grande satisfaction.
A fréquenté d’assez près, Pierre Mendès France, Romain Gary, Nicolas de Staël, Alexandre Vialatte, Jean Dubuffet, Guy Debord et quelques personnalités de moindre calibre.
Son œuvre de romancier se résume à une douzaine d’ouvrages qui connurent plus de succès d’estime que de réussite commerciale. Ils lui ont valu trois prix littéraires. Comment leur échapper ?
A écrit plusieurs scénarios de cinéma qui ont laissé la profession indifférente. S’en est consolé en inventant un jeu de stratégie, le Shootball, qui aux dires de spécialistes offre autant de possibilités que les échecs.
Consacre sa retraite en Noble Vieillard Facétieux avec un blog quotidien et ininterrompu, où il s’amuse à détourner des gravures populaires du XIXe. (walterlewino.unblog.fr)
Ce long périple lui a, toutefois, laissé le loisir de concevoir deux enfants et de les élever à peu près correctement
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