mercredi, mars 31, 2010

café-φιλο-des-phares "Parler, est-ce naturel?"

Je sais que je suis, mais sais-je qui je suis?
Parler c'est un besoin, l'écoute c'est un art!
Le grand progrès, c'est l'insulte qui a remplacé la massue
! (Freud)
Le mot "lapsus" vient du mot "absurde" donc de "sourd"
Il y a les bouffeurs d'air, ceux qui n'en laissent pas placer une!

Un boxeur peut-être un peu sonné par sa victoire, répétait à ses fans: Si tu m'écoutes, je te parles! Si tu m'écoutes, je te parles!

Petite histoire juive: un homme demande :"Est-il vrai que vous les juifs, vous répondez toujours à une question par une autre question! - Qui vous l'a dit?"

Berbérova n'a fait qu'écouter et écrire, cela lui a prit quatre-vingt-ans avant qu'on ne l'a publie.

www.philo-Paris.com
(77*Je cherche l’aventure en faisant du stop. Un drôle de petit bonhomme dans une voiture anachronique s’arrête, mais c’est pour me jeter des pierres au front. Cela me donne l’idée de cogner ma tête très fort contre les murs de la ville, jusqu’à en devenir amnésique. Lorsque je crois y être parvenue, j’entre avec mon bonhomme dans votre bistrot, espérant vous y voir. On vous attend, ou bien vous êtes déjà passé, ou vous y êtes mais ne daignez pas vous apercevoir de ma présence. Les chocs à la tête font leur effet. C’est sans l’ombre d’un sentiment que je subis votre vue. Mon regard fixe paraît être une provocation gratuite d’une passante à l’égard d’un inconnu, et cette fixité est hypnotique. Pour vous prouver mon oubli, je veux prendre tout de suite pour amant mon accompagnateur. Et même plus encore, changer les habitudes que vous me connaissez en embrassant sous vos yeux une fille. Elle a un buste très beau. Je mords ses seins par-dessus le pull gris mouette qui la moule. Je n’éprouve aucun trouble, ni n’en provoque chez elle, comme si j’embrassais une statue consentante. Alors, intrigué par mon oubli de vous, vous m’entraînez dans une cabine téléphonique. Vous risquez de me retrouver soumise comme jusqu’alors, je continue de jouer la comédie. Sans sentiment, je me masturbe contre vos fesses, ne me préoccupant que de mon plaisir, sans y parvenir. Alors je m’agenouille pour vous boire et immédiatement, à chaque succion, vous éjaculez et votre coït provoque des spasmes dans ma gorge, lesquels provoquent un nouveau coït, et ainsi une coulée sans fin de votre liquide dans ma gorge.

mardi, mars 30, 2010

Un Delatousche et deux W A Lewino

Mont-Saint Michel, par le padre de Walter

Village de campagne par Delatousche

Didi ado peint par son père

lundi, mars 22, 2010

Éditeurs et auteurs: La SCAM pointe les mauvais comptes

Alors que les lois les y contraint, 18% des éditeurs ne communiquent pas de relevés de compte à leurs auteurs, dénonce le baromètre 2010 de la Société civile des auteurs multimédia (SCAM) rendu public hier. Et dans 45% des cas, les relevés ne sont pas accompagnés du règlement des droits d'auteurs (55% en 2009). Plus d'un quart des auteurs ne sont pas informés de l'exploitation de leur livres à l'étranger, ainsi que de leur mise au pilon. Et pas moins de 30% n'ont pas reçu de droits à l'occasion d'une adaptation audiovisuelle ou d'une exploitation de leurs ouvrages à l'étranger.
La SCAM demande aux pouvoirs publics, aux éditeurs et au Syndicat national de l'édition (SNE) de veiller à la communication claire des relevés de compte. Reste que 69% des auteurs (60% en 2009) sont globalement satisfaits de leurs relations avec les éditeurs.
C.F.K

Comme de bien entendu!

On n'y a pas échappé!L'une des questions (La quête de la pureté passe t-elle par la salissure?) portait sur l'émission phare de la semaine, au café des Phares. J'ai dis être rassurée car l'audience n'avait pas suivit le battage publicitaire, comme quoi le français n'est pas si pervers que ça!
Un philosophe aurait dit: Nous naissons entre les fesses et l'urine!
Ma mère pensait me dés inhiber en me forçant à embrasser les fesses de mon petit frère, ce que je refusais.
Qu'importe le combattant, c'est la guerre qui gagne!

vendredi, mars 19, 2010

La télé réalité

Je n'ai pas voulu céder au voyeurisme qui est inné en nous, j'ai éteint la télé sur cette émission qui pour dénoncer le sadisme inconscient, ou l'obéissance obligée dès que l'on est starisée, atteint ce qui est le plus bas en nous. Je sais bien que nous avons la mémoire d'un cerveau reptilien et quelque soit notre éducation, notre culture, notre premier réflexe nous ramène à l'archaïsme de l'homme des cavernes.

Quand à la pédophilie, il est vrai que les enfants ne racontent pas, et protègent les adultes, d'autant que ce sont leurs proches qui perpétuent des sévices contre l'innocence comme pour s'en accaparer la pureté.
(76)*« Olga, ne connaissez-vous pas de peintres ?
-Non ! »
On cherche dans la bibliothèque de gros livres à revendre. Aucun ne m’appartient.
Je vous rencontre dans une foire. Votre actuelle égérie s’éloigne un peu de nous:
« Vous en êtes amoureux ?
- Oui bien sûr ! »Je vous plante une longue aiguille dans la colonne vertébrale afin de vous empoisonner. Cela n’agit pas, mais l’aiguille demeure dans votre dos. Alors j’abats ma tête dans votre cou. Joue contre joue, vous me bercez longuement. Je sens un tout petit peu le désir de votre ventre, pas trop.
Mes cheveux sont encore mouillés et ma mise en plis mexicaine se défait. C’est à un voyou que j’emprunte un peigne et, provocante, je me coiffe devant lui afin de vous prouver mon indépendance.
Je tourne dans un court métrage. A la fin, comme d’habitude, on me demande de me dénuder dans un contexte soi-disant quotidien, en faisant le ménage, ou tout autre geste qui me mettrait face à la caméra. Je pense à mon âge, à la cellulite sur l’estomac, à la peau plus assez pleine pour être sans plis. Bref, je refuse, jusqu’à ce qu’ils trouvent le prétexte que je tape sur un clavier de machine à écrire, ce qui me met trois-quarts de profil. J’ai une fourrure, que j’enlève dans le mouvement. Il y a une autre peau en-dessous, et encore une autre, ceci une quinzaine de fois, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de pellicule dans l’appareil. Je suis très heureuse de cette diversion, l’imaginant plus érotique et fantastique qu’un nu intégral.

mercredi, mars 17, 2010

Topor-Sternberg

Lors d'une promenade, dans la vitrine d'une librairie, j'aperçois des livres que je ne connaissais pas de Roland Topor et Jacques Sternberg, c'est comme un signe d'intelligence à travers le temps, c'est rassurant!

Le Lieu Bleu. Librairie.
Site de la librairie Le Lieu Bleu. 6 rue Charles François Dupuis. 75003 Paris. Tel 01 42 77 10 37. Achat Vente de livres d'occasion.
www.lelieubleu.com/

lundi, mars 15, 2010

Autour de Jean Ferrat

Le Café Philo des Phares a tourné autour de cette question: Y a t-il une beauté morale?
La beauté fascine, elle renvoie à la chair!
La beauté est un monde intelligible!
Hiatus: la beauté=superficialité, La morale= exigence.
Le poète a t'il toujours raison?
La morale est désintéressée!
Le drapeau noir est encore un drapeau!
Le meilleur se nourrit du pire!
La beauté est le processus d'une émancipation!
La beauté est dans les yeux de celui qui regarde!


Dans le film documentaire "La Traque" Serge Klarsfeld dit en conclusion, parlant de lui, de sa femme Béate, et de tous ceux qui ont participé: Nous n'avons pu mener à bien cette mission que parce que nous étions des gens heureux, si nous avions été des personnes malheureuses, nous n'en aurions pas eu la force ni le courage!

vendredi, mars 12, 2010

Maître Pierre Kaldor



Cher(e)s Charlotte, François, Lucie, Cyril et toute la famille,
Mesdames, Messieurs,
Cher(e)s Ami(e)s,
L’annonce du décès de notre ami Pierre Kaldor a causé une très grande émotion chez tous ses ami(e)s du Secours populaire en France, mais aussi à travers le monde, que ce soit en Allemagne, en Afrique… partout.
C’est que pour tous les hommes épris de justice, d’humanité, de fraternité active, le nom de Pierre Kaldor résonne comme synonyme de lutte, de refus des injustices, la voix de celle d’un artisan d’une autre conception de la vie de nos sociétés, moins cruelles, moins injustes.
Comme le dit l’une des devises du Secours populaire que reprenait à son compte Pierre « pour que demain soit plus humain ».
Bien sûr nous connaissions son âge, mais nous n’évoquions jamais cette hypothèse. Il y a encore quelques semaines il était présent – comme toujours – à notre Conseil d’administration où il intervenait avec une conviction juvénile et marquée toujours de son ironie.
Avant qu’il ne nous quitte, nous avons eu heureusement plusieurs occasions pour lui exprimer de vive voix notre admiration pour son courage, dans toutes les épreuves encourues et suivre le fil conducteur de sa vie entièrement consacrée aux autres.
Témoignage, ce que solennellement dans les grands salons de l’Hôtel de Ville de Paris, nous adressant à lui, devant tous les nombreux invités avant de lui remettre la croix de la Légion d’honneur.
« Mes premiers mots se résument en un seul oui « enfin » Pierre Kaldor va être dans un instant élevé au grade de Chevalier de la Légion d’honneur.
Certes, notre ami avait déjà eu de nombreuses marques de reconnaissance, la Croix de Guerre avec citation, la Croix du Combattant Volontaire de la Résistance, le Prix des Droits de l’Homme en Allemagne, Membre du Comité d’honneur d’Ernst Thalmann, héros antifasciste allemand, d’autres encore… mais il lui manquait la plus importante décoration française. Ce fut chose faite grâce à notre pugnacité.
Suivre à la trace les pas de Pierre n’est pas aisé, car ses activités relèvent plus d’un parcours du combattant aux multiples étapes.
Nous avons tenté de bien nouer le fil conducteur de sa vie qui peut se résumer en une formule « toujours au service des autres ».
Oui, parcours d’un combattant pour la justice, l’humanité, avec la solidarité au cœur.
Pierre typographe / employé d’assurances/ avocat/ traducteur/ critique musical/ documentaliste/ et toujours en même temps, il y a la section syndicale, la défense des locataires, des opprimés, la solidarité, et son engagement politique au Parti Communiste, engagement qu’il n’a jamais renié, ce qui lui a valu bien des années sombres.
Celles-ci commencent le 30 octobre 1939 quand, arrêté au 5 Rue des Martyrs, il se retrouve en prison pour de longues années, après maints transferts y compris sous l’occupation ou sans coup férir, les emprisonnés politiques français furent livrés au bon vouloir des nazis.
Depuis les années 30, il a défendu les droits politiques de ceux qui, vis-à-vis des autorités, se réclamaient de l’amitié entre les peuples et de l’internationalisme qui assure la dignité et l’honneur des petites gens…
Plus tard, en prison, il partagera les cellules d’hommes admirables, de héros dont malheureusement la jeune génération - peu informée - ignore le sacrifice.
Mais cette idée de retrouver la liberté, il y travaillait sans cesse.
Il faisait des plans et réussit une spectaculaire évasion de la prison de Châlons sur Marne, début novembre 1943. La corde qui lui servit si bien est maintenant exposée en bonne place au Musée national de la Résistance à Champigny et l’amie qui lançait la corde c’était Charlotte avec qui il a vécu toute sa vie.
Pendant la bataille pour la libération, on le retrouve avec d’autres confrères occupant le Ministère et le Palais de Justice de Paris.
Paris et la France libérés, Il poursuit son œuvre si utile et consacres l’essentiel de son temps à réorganiser sur de nouvelles bases le Secours Populaire Français.
Le 15 novembre 1945, il est élu Secrétaire général de l’association et depuis, quelles que soient ses nombreuses activités, il est toujours réélu membre de la Direction nationale.
Dans cette période, qu’il reprenne une activité professionnelle ou qu’il se réinscrive au Barreau, sa vie reste tracée : la solidarité, la justice.
Au métro Charonne en 1962 alors qu’il manifestait pacifiquement avec des dizaines de milliers de personnes contre l’OAS et ses crimes, il a été grièvement blessé par les policiers aux ordres du sinistre préfet Papon et à ses côtés sept manifestants trouvèrent la mort.
Peu de tribunaux à travers la France où il n’aie plaidé pour défendre une victime des injustices, et aussi tout particulièrement pour l’Algérie où il construit en pleine guerre un véritable pont aérien avec notamment Maître Jules Borker et des dizaines de confrères au service des Algériens pour leurs droits à la défense.
Plaidoiries pour défendre l’expulsé, le syndicaliste, la victime d’atteinte aux Droits de l’Homme.
Sa sensibilité est profonde pour tous les peuples d’Afrique noire ou partout il est respecté, aimé.
Depuis 1945, le Secours Populaire Français s’est considérablement transformé. C’est parce qu’il y a eu l’histoire de la solidarité populaire dans les années 25 et durant l’occupation puis le travail de fourmi entrepris en 1945 par les pionniers de la solidarité populaire pouvant s’exprimer au grand jour , et à nouveau par toutes les bonnes volontés qui s’y sont jointes depuis, que l’association a droit aujourd’hui aux honneurs, à la notoriété, mais surtout à la reconnaissance du public.
Le Secours Populaire Français a considérablement évolué. Son orientation, ses règles de conduite, d’organisation, son langage, ses activités renouvelées, élargies et n’ont que peu de rapport avec ce qu’ils étaient il y a plus de 60 ans.
J’ai évoqué, il y a un instant, l’engagement politique de Pierre. D’autres amis du Secours Populaire ont bien d’autres engagements, des croyances différentes, « celui qui croyait au ciel, celui qui n’y croyait pas » comme l’a écrit Aragon, et c’est cela, la force du Secours Populaire Français. Pierre Kaldor l’a bien compris : il a toujours été partie prenante de tous ces changements.
Si le Secours Populaire Français est aujourd’hui agrée d’Education populaire, association d’éducation complémentaire de l’enseignement public, reconnu d’utilité publique, grande cause nationale à plusieurs reprises, s’il se situe dans les toutes premières places des associations humanitaires au niveau de la France, de l’Europe, du monde, s’il a obtenu un statut consultatif auprès de l’ONU, c’est avant tout parce qu’il y a eu –je le redis - les pionniers, dont Pierre en 1945 -.
Pierre, et je glisse dans cet hommage, que nous te rendons, quelques notes personnelles. Tu t’es évadé en novembre 1943, ce même mois où le tout jeune résistant que j’étais se retrouvait en prison et partageait durant une semaine sa vie d’emprisonné avec Manouchian et les héros de « l’affiche rouge ».
Toi tu étais présent clandestinement au cimetière d’Ivry lors de l’arrivée de leurs cercueils tachés du sang des martyrs en février 1944 et plus tard de ton côté tu organisais la solidarité pour leurs familles après leur exécution au Mont Valérien.
Nous étions faits pour nous rencontrer et 10 ans plus tard, avec Francis Jourdain tu m’accueillais au Secours Populaire.
Cher(e)s Ami(e)s, j’ai quelques difficultés à dire « adieu » à Pierre.
Je partage l’idée exprimée si fort par Victor Hugo « que les morts sont des vivants mélés à nos combats ».
Avec l’Institut de formation du Secours populaire français, nous allons faire connaître et partager l’exemple de Pierre, aux jeunes bénévoles qui nous rejoignent de plus en plus nombreux.
Le samedi 27 de ce mois, les membres du Comité national du Secours populaire français inaugureront Rue Froissart, un grand espace baptisé à son nom.
Oui vraiment Victor Hugo avait raison, tu restes des nôtres.
Nous reprenons ton cri que tu nous a lancés avec enthousiasme à l’Hôtel de Ville de Paris le 24 octobre 2007.
« Ohé mes concitoyens du monde, pétrissons ensemble, pour demain le pain quotidien de nos espérances ».

Julien Lauprêtre
Nouveau cimetière de Neuilly
Obsèques de Pierre Kaldor
12 mars 2010


C'était le jeudi, octobre 25, 2007
Maître Pierre Kaldor affiche avec humour ses 95 printemps lors de la cérémonie où on lui a remis la légion d'honneur et dit en substance, lui qui n'a été au service que des autres, tous les opprimés de la terre, Je ne suis fait que de votre gentillesse, des marques de l'amitié que vous me prodiguez,trop!! l'homme a bien sûr un héritage génétique, mais ce sont les évènements, les rencontres qui le construisent, je ne serais rien sans vous tous! C'est vraiment jubilatoire de voir son sourire si bon et d'entendre une voix si ferme, l'intelligence faite homme. Il n'a pas omis de présenter Charlotte qui lui a mis la corde au cou après l'avoir fait évader de prison à l'aide d'une corde...

mercredi, mars 10, 2010

Festival Off-Courts Trouville

A fond les ballons !!
Les temps sont durs, c’est sûr…. Peu importe, une bonne équipe, des projets, de nombreux amis, le soutien actif de la Ville de Trouville et un maximum de motivation feront toujours la différence.
Alors que l’hiver n’en finit plus, la tribu Off reste en action.

De Trouville…
Max et Lison Dallant, Eve Constant, Elisabeth Tixier, Nolwenn Daste, Philippe Jouan, Yvon Martin, David Jonquières et le chien Dune étaient les comédiens du réalisateur québécois Vincent Wilson pour son tournage trouvillais la semaine passée.
De nombreux habitants de Trouville ont aussi participé à l’expérience Import/Export en nous ouvrant jardin, maison, garage et leurs esprits. Merci à eux de s’être laissé envahir.

Un grand merci aussi à Tatou/Transpacam qui nous a accompagné dans notre aventure avec la classe des grands seigneurs. Thomas Jacquet, chef opérateur et Olivier Talouarn, notre gourou informatique, en ont profité pour un peu de mieux technologique :
« … grâce au performant "Apple Prores HQ", Off-Court donne un coup de booster à la Sony 900R en capturant directement son flux de sortie SDI en full HD1920-1080 10bits tout en assurant la sécurité absolue des rushes en parallèle dans la caméra. » Dr Kodec
C’était aussi la première sortie d’Alix avec sa super valise de maquillage Make Up Forever.
…Attention, si ça continue, on va prendre des habitudes de confort !

Rendez-vous le vendredi 3 septembre pour la première mondiale… à Trouville bien sûr.
www.vwilson.net
www.tatou.fr
www.makeupforever.com

… à Québec
C’est le trouvillais Nicolas Boulenger qui est dans les starting-blocks… Son film, le 2nd de l’Import/Export 2010 va se tourner intégralement à Québec les 19, 20 et 21 mars prochains avec, une fois encore, le soutien sans faille de Spira Film.
Là aussi nous partons pour un tournage en famille avec Vincent Chimisso, la talentueuse Pauline Chabauty et Carnior qui met sur pied une équipe et un casting Made in Québec.

Pour la 6e saison de notre projet de cinéma transatlantique, nous sommes heureux d’agrandir le cercle de nos partenaires institutionnels avec le début de collaboration avec la Ville de Québec.
Notre idée de pont culturel entre Québec et la Normandie se construit un peu plus chaque jour…
www.sourireetcompagnie.com
www.spirafilm.com

Les films Off en DCP !
Le cinéma effectue sa révolution numérique. Nos amis Les Machineurs, basés à Lyon, sont en permanence à la pointe de cette technologie.
Grâce à leur savoir faire, le film Macadam peau rouge (Import / Export 2008 d’Arnaud Malherbe) va faire partie des rares films diffusés en DCP (Digital Cinema Package) lors du prochain Festival d’Aubagne qui se déroulera du 15 au 20 mars.
www.machineurs.com
www.cineaubagne.fr

Pas de frontière à la création !
Du 9 au 17 avril, se dérouleront les 5e Rencontres du Film Court d’Antananarive (Madagascar) avec lequelles nous collaborons depuis 4 ans. Chaque année, un réalisateur malgache y remporte un Prix lui permettant de venir participer aux Labos Off en classe VIP.
Thomas Lesourd, toujours en résidence au Studio Off, va maintenant permettre que notre collaboration soit encore plus importante. Il va aller aider à la mise en place du Ti’Kino gasy et encadrer avec d’autres professionnels locaux de jeunes réalisateurs.
www.rencontresdufilmcourt.mg
www.thomaslesourd.com

11e édition d’Off-Courts Trouville du 3 au 11 septembre 2010

James Thiérrée


Réalisé par Tony Gatlif
Avec Marc Lavoine, Marie-Josée Croze, James Thiérrée, plus
Long-métrage français. Genre Drame
Durée 1h51 min Année de production : 2008
Distributeur : UGC Distribution
Synopsis : Théodore, vétérinaire et maire d'un village situé en zone occupée pendant la Seconde Guerre mondiale, a recueilli P'tit Claude, neuf ans, dont les parents ont disparu depuis le début de la guerre. Mademoiselle Lundi, l'institutrice fait la connaissance des Tsiganes qui se

mardi, mars 09, 2010

(75)*Je dors avec mon beau-père. Sa pression ne s’exerce que vers sa poitrine. S’il devait me caresser. J’en ai déjà l’intérieur des cuisses en eau. Il finit par s’allonger sur moi et me tète le sein gauche. Il faut que je réfléchisse, je ne peux me lever pour aller consulter mon carnet. S’il allait me prendre ? Je ne sais plus si nous sommes les jours dangereux ou non. Le temps de ma réflexion, il roule sur le côté. C’est mieux ainsi. Cela ne nous empêche pas de dormir enlacés.

lundi, mars 08, 2010

Nous baignons dans trop de réalité Café philo des Phares

J'ai bien aimé la phrase: Toute ligne droite ment!
Personne n'a mentionné le: Chacun sa vérité de Pirandello
Une amie Nicole, m'avait dit à propos d'une proche en fin de vie: Il vaut mieux un mensonge pieux, qui l'aide à espérer malgré tout!
J'ai fait du babby-sitting avec une gamine de 9 ans, elle avait déjà des fesses de femme et du poil pubien, ses parents très pointus en plusieurs domaine, la gamine poussait au gré d'une sur-information qui stimulait ses hormones (genre hypotallamus, hypophyse). C'est ce que j'avais appris en yoga, ne pas faire travailler de jeunes enfants afin que leur croissance reste naturelle.