Une belle tête de druide ou de gourou, lorsqu'il nous voyait arriver ensemble Cavanna disait à Sternberg: Ah!Tu es venu avec ton pare-feu!
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jeudi, janvier 30, 2014
mercredi, janvier 29, 2014
Nordine a frappė
En essayant une coque de protection pour sportifs Michel Cimes s'est exposé, Nordine a foutu son poing dans la dite coque. mais par idnavertance. l'un de ses doigts a glissė vers la partie fragile sensée être protégée, c'est risué de servir de cobaye, j'espère que Michel Cimés a plus de plaisir à fréquenter " La grande Blonde" .comme il nomme notre Adriana Karembeu nationale.
mardi, janvier 28, 2014
Frédéric Tachou
Et le sexe entra dans la modernité Photographie obscène et cinéma pornographique primitif, aux origines d'une industrie Frédéric Tachou Livre broché - 33,00 € 31,35 € Économisez 1,65 € (5 %) Résumé | Sommaire | Événements | Fiche technique Au milieu du XIXe siècle, lorsque des photographes parisiens donnèrent naissance au commerce des photographies « obscènes », ils ne fixèrent pas sur leurs plaques de verre des témoignages documentaires sur ce que la loi prétendait confiner dans la sphère privée, mais mirent en scène leurs modèles pour construire une sorte d'utopie sexuelle. L’utilisation de la photographie et ensuite du film imposa ainsi un nouveau paradigme qui inaugura l'ère de la pornographie moderne. Partant d’une lettre de Paul Eluard adressée à Gala en 1926 dans laquelle le poète raconte avoir vu dans le cinéma pornographique « [...] la passion contre la mort et la bêtise », Frédéric Tachou relève le défi d’une évaluation du phénomène culturel naissant. En s’appuyant sur l’analyse approfondie de photographies et de films produits entre 1850 et 1950, il propose une approche critique des conditions nouvelles dans lesquelles s’est élaborée une relation aussi inédite qu’originale entre le spectacle et le spectateur. L’auteur gage que le système de signes propre à ces photographies et à ces films qui combine illusion et réalité a permis la mise au point d’un instrument redoutable par lequel les fantasmes sexuels des individus peuvent s’échanger avec une fantasmagorie plus collective. Dans des sociétés aptes à transformer tous les domaines de la vie en marchés, où des qualités se changent en quantités, le monde du fantasme ne peut pas être épargné. Frédéric Tachou est né à Bordeaux en 1964. Après une formation de plasticien et d'esthéticien, il enseigne les arts plastiques jusqu'en 2000 avant d'entamer une carrière de cinéaste expérimental. Parallèlement à ses activités créatives, il soutient une thèse de doctorat en Esthétique et Sciences de l'art à Paris I où il enseigne l'analyse du cinéma expérimental.
lundi, janvier 27, 2014
Luce Gourmelin
Livres, cd, dvd
Loir-et-Cher livres
Une enfance aux Roches-L'Évêque
02/08/2012 05:35
Luce Gourmelin publie un livre où elle raconte ses souvenirs d'enfance. Luce Gourmelin publie un livre où elle raconte ses souvenirs d'enfance.
Luce Gourmelin publie un livre où elle raconte ses souvenirs d'enfance.
Luce Gourmelin vient de publier son premier ouvrage, intitulé « La Fin d'un instit ». Cet essai autobiographique a été composé à partir de ses mémoires d'enfance. Une enfance heureuse, passée aux Roches-L'Évêque, où elle est née et où elle a vécu jusqu'à l'âge de 15 ans, avant de partir faire ses études secondaires à Tours. « C'est un livre qui parle de la nostalgie de ce pays, où l'on vivait avant-guerre au rythme des saisons. Et c'est aussi un témoignage écrit en mémoire de mes parents, de mon père surtout, instituteur aux Roches-L'Évêque. Je décris la fin d'un de ces instituteurs. »
C'est l'enfance de celle qui s'appelle alors Lucette Chrétien qui est décrite page après page. La première partie porte sur l'avant-guerre. La seconde parle de l'exode, de l'Occupation, et de la Libération, décrite heure par heure, d'après les notes relevées dans le carnet tenu par sa mère. « Cette guerre a entraîné plus ou moins la fin du règne de l'instituteur… D'où le titre de mon livre. »
Cet ouvrage est le premier que Luce Gourmelin publie. « J'ai beaucoup de choses dans les tiroirs, explique t-elle. Je tenais un journal jusqu'au décès de mon mari, l'an dernier (Jean Gourmelin était illustrateur et dessinateur de presse, bien connu en Vendômois). Des poésies, des projets, mais vraiment rien d'abouti. Et surtout, rien de publié jusqu'à maintenant. En réalité j'ai écrit cet ouvrage comme le premier d'une trilogie. » Les deux tomes suivants sont déjà prévus. Le deuxième volet concernerait les études secondaires, et le troisième les premières années de son mariage, à Ménilmontant.
"Backstreet" vrai titre?, écrivain: Salinger ou Kinssiger, je ne sais!
En bon mari juif, Jacques Sternberg avait voulu se déculpabiliser en m'en menant voir le film Backstreet(?) histoire d'un homme qui n'arrive pas à se départager entre les trois femmes de sa vie:Sa servante polonaise qui l'a sauvé en le cachant durant la guerre, une intellectuelle qu'il aime d'un amour fou, et sa femme légitime qui débarque en Amérique alors qu'il la croyait morte dans les camps. Son statut de représentant lui permet de vivre simultanément ses trois amours un temps, mais les trois femmes se rencontrent, la folle maitresse se suicide, et la légitime prend en charge l'enfant fait à la servante, pendant que notre homme se dilue dans la nature on ne sait où...
dimanche, janvier 26, 2014
Phénoménal -"le plus grand cabaret du monde"
Toujours chez Sébastien les superlatifs comme on ne peut surenchérir à ces. Compliments oh combien mérités, du coup les invités tous célèbres ont l'air de pales figurants.
samedi, janvier 25, 2014
Chez Ruquier sur la 2
Chantal Goya 71 ans devrait-elle laisser la place?
Il y a un certain temps elle s'était prise les pieds dans le tapis et a eu droit â son purgatoire les enfants qui restent oniriques recherchent toujours le fantasme y compris dans les vieux greniers.
mercredi, janvier 22, 2014
L'escalier
Vive ces marches qui me montent dans ma mansarde au cinquième sans ascenseur. Cet exercice quotidien me fait réaliser que cet escalier est ma colonne vertébrale, sans elle, je serais bonne pour la casse.
lundi, janvier 20, 2014
Le vaudeville. les sels.
Les malaises, la crise de nerf, tomber dans les pommes, les cris, les pleurs, le sarcasme, la gifle vengeresse, la dépression, le bobo à l'âme, l'injure, l.hysterie. Ce qui m'a surprise c'est qu'une dame officiellement cocue veuille se reposer dans les appartements officiels de son concubin, ce qui annoncerait qu'elle ne lâche pas l'affaire "j'y suis, j'y reste", telle une femme mariée qui tient à ses meubles.
samedi, janvier 18, 2014
La France bouffe
Je n'en ai pas perdu une miette de toutes ses agapes généreusement distribuées par les médias, pas une chaîne qui n'ait son Chef. Durant ces fêtes j'ai perdu 3kl, c'est pour dire tant j'étais scotchée à la télé dont la place est au pied de mon lit... Entre ma somnolence et celle de l'administration, rien ne bougeait. Pas un coup de balai, des moutons qui moutonnaient à chaque recoin de mur, je me disais ait que l'électricité statique devait aspirer la poussière, des germes en moins pour mon pauvre body epuisê par tous les joyeux effets secondaires de la chimio.
Au finish je me suis offert le "pimpon" des pompiers en m'affalant dans la queue d'un magasin d'alimentation.
Au finish je me suis offert le "pimpon" des pompiers en m'affalant dans la queue d'un magasin d'alimentation.
jeudi, janvier 16, 2014
dimanche, janvier 05, 2014
Au loup!
Un long chemin en ligne droite à parcourir pour arriver dans un village où il y a un bistrot dans lequel j'espère voir des connaissances. A gauche dans la prairie un loup. Une voix derrière moi me dit: "Marche doucement mais ne vas pas dans les champs,les bois, c'est le territoire des bêtes sauvages, respecte le, eux savent que la route est celui des gens!
Au fur et à mesure que j'avance, un autre loup sort d'un buisson de droite et d'un bond traverse la route, puis d'autres viennent de toutes parts, je n'ai même pas un bâton dans la main, aucun branchage au sol, comment pourrai-je me défendre contre une meute,ils sont six à présent, j'arrive sans encombre au village, personne que je connaisse.
Au fur et à mesure que j'avance, un autre loup sort d'un buisson de droite et d'un bond traverse la route, puis d'autres viennent de toutes parts, je n'ai même pas un bâton dans la main, aucun branchage au sol, comment pourrai-je me défendre contre une meute,ils sont six à présent, j'arrive sans encombre au village, personne que je connaisse.
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