vendredi, juillet 31, 2015

Soirées de grâce avec Le Grain de sable

Chaque intervention d'écrivains, lecteurs, comédiens, est un instant de grâce, je n'ai pas tout vu de ce festival sur la lumière, mais je me suis sentie pleinement nourrie avec Joanna de Fréville dont je n'ai pas encore lu Le Pas du Lynx car nous devons échanger nos livres . Jérôme Garcin nous donnant à voir Le Voyant, et je ne connaissais pas l'actrice Nathalie Richard, une grande surprise que son talent et sa beauté, et le président du prix Marguerite Duras,  Alain Vircondelet , se coulant dans la nature profonde de Saint-Exupéry, pour  céder les textes de ce dernier à la voix de Gérard Desarthe, avec comme décor le Château d'Aguesseau et la coïncidence d'un coucou traversant notre ciel au moment de la présentation, qui autre coïncidence dont Alain Vircondelet n'avait pas eu conscience, c'est que nous étions un 31 juillet, jour de la mort du pilote. Il y a eu aussi un artiste belge Bernard Tirtiaux qui a présenté son travail sur le cristal et s'est offert le luxe de fragmenter un morceau afin d'en offrir des éclats au public.

jeudi, juillet 30, 2015

14es Rencontres d’été : Gérard Desarthe lit Saint-Exupéry Trouville-sur-Mer

Festival. Extraits de Courrier Sud (1929), Terre des Hommes (1939), Pilote de guerre (1942) et Écrits de guerre (1982). Un grand poème de l’avion et de l’air que Saint- Exupéry relate dans ces pages devenues mythiques. Par Gérard Desarthe. Choix de textes : Alain Vircondelet. Vendredi 31 juillet, à 19h, Château d’Aguesseau à Trouville, route d’Aguesseau, Trouville-sur-Mer. Tarif 11€, réduit 9€. Contact et réservation : tél. 02 31 14 60 70, 02 31 28 52 56, pmvvgraindesable@orange.fr, www.rencontresdete.fr. Trouville-sur-Mer Compagnie PMVV le Grain de sable Festival

Soirées jouissives avec Arté

Un plateau télé, un Ingmar Bergman, Wim Wenders avec Paris-Texas, ce soir Akira Kurosawa, Les sept samouraïs, c'est l'été, nous avons droit aux chefs-d'oeuvres impérissables qui ne se ressemblent en rien, chacun a sa propre énergie, son mode de récit, un univers différent, mais la jubilation est la même pour le public,

lundi, juillet 27, 2015

Nathalie Richard


14es Rencontres d’été : Nuits blanches de Haruki Murakami - Trouville-sur-Mer

14es Rencontres d’été : Nuits blanches de Haruki Murakami

Festival / Festivals
Trouville-sur-MerLundi 27 juillet 2015, à 21h
Villa La Sablonnière à Trouville 1, rue Croix
Festival. Une jeune femme absorbée dans la répétition d’un quotidien sans relief voit son existence soudainement bouleversée par la perte totale du sommeil. Dix-sept « nuits blanches » au cours desquelles s’ouvre une nouvelle vie qui modifie sa perception d’elle-même et du monde. Avec Nathalie Richard.
14es Rencontres d’été : Nuits blanches de Haruki Murakami

Tarif : Tarif 11€, réduit 9€.
Téléphone : 02 31 14 60 70
Téléphone : 02 13 28 52 56
Site internet : www.rencontresdete.fr
Renseignez-vous et réservez

dimanche, juillet 26, 2015

Cochon qui s'en dédit!

Un rat grimpe les pieds du lit, j'essaie de l'écarter de mon corps mais il est gros et peut se défendre par des morsures, il arrive au dessus de ma tête et se niche dans ma chevelure, je fais semblant de dormir espérant qu'il s'endormira lui même, je réfléchis pendant ce temps au moyen de le déloger.en douceur, avant qu'il ne lui vienne l'idée  de me  bouffer le crâne.
Peut-être ce rêve car je venais de raconter comment Roland Topor a peint un rat mordant la nuque d'une femme nue, à quatre pattes. Il avait demandé à une copine combien celle-ci lui prendrait pour servir de modèle "Rien! lui avait répondu la jeune femme, un temps de silence, puis" Tu me donnes un tableau! " J'ai vu Topor pâlir, puis grand seigneur: "OK!"

samedi, juillet 25, 2015

Jérôme Garcin -Compagnie Le grain de sable -Mairie Trouville


Le voyant

« Le visage en sang, Jacques hurle : « Mes yeux ! Où sont mes yeux ? » Il vient de les perdre à jamais. En ce jour d'azur, de lilas et de muguet, il entre dans l'obscurité où seuls, désormais, les parfums, les sons et les formes auront des couleurs. »
Né en 1924, aveugle à huit ans, résistant à dix-sept, membre du mouvement Défense de la France, Jacques Lusseyran est arrêté en 1943 par la Gestapo, incarcéré à Fresnes puis déporté à Buchenwald. Libéré après un an et demi de captivité, il écrit Et la lumière fut et part enseigner la littérature aux États-Unis, où il devient « The Blind Hero of the French Résistance». Il meurt, en 1971, dans un accident de voiture. Il avait quarante-sept ans.
Vingt ans après Pour Jean Prévost (prix Médicis essai 1994), Jérôme Garcin fait le portrait d'un autre écrivain-résistant que la France a négligé et que l'Histoire a oublié.

mercredi, juillet 22, 2015

Le copulateur.

C'est ainsi que j'appelais Sternberg, le copulateur, ou le fornicateur. Je m'en souviens car le libraire du marché à Trouville, me hèle lorsque dans sa cargaison il découvre un livre de cet écrivain, ce jour il s'agit de "Agathe et Béatrice, Claire et Dorothée" cet ouvrage édité  en 1979  se voulait érotique, je m'efforce de le lire, après tant d'années, il y a prescription, foin d'une jalousie rétrospective. A propos, pourquoi les cendres de Jacques Sternberg n'ont-elles pas été disséminées dans la mer, lui qui avait notre Zef, puis plus tard son Sunfish au Club de Voile aux Roches Noires!  Il partait par tous les temps  jusqu'à force 4 ce "fumier des mers", car il ne prenait en compte ni ma peur, la faim, le froid, le soleil qui brûle les yeux, mon envie d'être au lit avec lui plutôt que sur l'eau furieuse, ou tout autre considération autre que son désir de barrer son dériveur, sa maîtresse. Il m'avait avoué n'avoir jamais oser draguer Marguerite Duras souvent seule au Central ou dans tout autre bistrot,  lorsque celle-ci à été obligée de se sevrer " Je suis en meilleure santé mais qu'est ce que je m'emmerde!"aurait-elle dit.

Quand une source tarit, une autre jaillit!

Ma sœur Suzy me rassurait avec ce vieil adage qui s'avère d'actualité, n'ayant nul RV pour cet été, je suis en vitrine à la terrasse de Willy, et toujours il y a l'une ou l'autre de mes copines qui s'assoit et nous bavardons. Je paie mon café avant qu'elles n'arrivent afin de ne pas les décourager d'avoir à m'offrir une consommation, aussi à mon âge ne plus jouer l'orpheline auprès d'elles qui ont toujours le pouvoir ménager, leur narcissisme je laisse courir, j'ai Internet pour moi, elles font semblant de l'ignorer. Les heures de pluie c'est un délice, défilé de Kway, nous sommes peu sous la bâche du bistrot, un air de fête avec le bruit des gouttes et la plainte des mouettes, c'est un peu comme de se laisser bercer dans un bateau à l'ancre avec le bruit du vent dans les cordages, ou bien d'écouter le crépitement du feu dans la cheminée d'une maison amie. Je suis toujours sans nouvelle de celle qui perd la mémoire, j'espère qu'elle ne souffre plus des tensions familiales, elle qui était la reine du foyer.
Vos veines sont sèches comme celles d'une vieille femme! m'avait  dit élégamment un infirmier qui s'évertuait à la prise de sang à 6h du matin, le sel marin m'a peut-être remit du sang dans les veines, reste la libido toujours en sommeil, c'est une chance à Trouville où je n'ai jamais rencontré d'homme autre que le capitaine, ceux de mes copines me fuient car pour leur épouse j'ai toujours représenté le vent du large, n'est pas bohémienne qui veut!

Pourquoi?

Au Musé Montebello je tombe dans les "Pourquoi ? " d'une douzaine d'écoliers de sept à neuf ans qui discutent avec le peintre Hastaire, lequel se doit d'ajuster son vocabulaire à celui des enfants, difficile exercice de style.  Chaque tableau leur pose question, pourquoi la guerre, les fusils, le sang, le bunker, la victoire, si chaque toile à un titre ils cherchent la corrélation entre celui-ci et l'image , l'interprétation de l'artiste, lequel ne peut prononcer le mot transcender, qu'ils ne connaissent pas, me dit-il.

mardi, juillet 21, 2015

L'inextricable

Deux films d'Ingmar Bergman diffusés à la suite sur Arté" Fanny et Alexandre,  puis,  Les fraises sauvages". Après la truculence vient le drame, les cauchemars, l'inimitié entre les personnages, il est deux heures du matin quand la diffusion est finie, je sais que je vais payer cette dramaturgie par une insomnie ou un rêve affreux, c'est ce qui arrive,
Nous avons fini une représentation au théâtre, nous sommes en congé, personne ne sait me dire si je suis en vacances et pour combien de temps. Je m'évertue calmement à apprendre à un petit garçon à conduire une cavalière, un tour sur lui même et je le prends dans mes bras afin qu'il puisse me guider. Il s'empêtre mais il est de bonne volonté pour recommencer. Pendant ce temps là des passagers s'installent dans un bateau, la voie fluviale est la seule route possible. Le bateau n'avance pas, je comprends qu'il est trop plein d'eau, qu'en le faisant gîter au lieu que l'eau s'écoule des petites vagues remontant du fleuve le remplissent à nouveau, il va bientôt couler, quelqu'un sur le rivage essaie en vain de la haler par une corde, il est trop lourd, en fait les passagers sont dans une barque plus petite qui flotte sur ces eaux à l'intérieur de cette plus grosse barque. Il y a un petit cloaque oû nage un poisson, les autres ont servit de nourriture aux voyageurs, si ceux ci survivent à la noyade, ils risquent d'être empoisonnés par les eaux souillées avalées par les poissons. Par l'échancrure de sa chemise,  il me semble voir que le petit garçon a des petites plaques rouges, nous le déboutonnons et effectivement tout son torse présente une allergie, que faire?

dimanche, juillet 19, 2015

Rester assis

Nous nous sommes réfugiés dans un bouiboui pour prendre un chocolat, c'est l'immobilisme qui nous unit, aucun mot, aucun geste, côte à côte nous demeurons, ses mains posées sur ses cuisses, aucune tentative de caresse, de conversation. Par inadvertance, en nous retournant, nos deux fesses se rejoignent anus contre anus, cela n'engage rien de plus. Son portable sonne, il répond à sa femme, lui dit où il est, avec qui, peut être va t-elle s'inquiéter de cette neutralité et venir le chercher, je n'entends plus leur conversation par manque de curiosité, je ne prends aucune initiative autre que de rester assise, le profil dense de cet homme contre moi qui ne le dérange pas, c'est une relation érotique en soi!
En écrivant ce rêve j'ai l'impression de faire du Duras.

samedi, juillet 18, 2015

Les Bouglionne-F2 ou un tigre dans le moteur.

Les petits enfants, avant que de travailler grimpent sur les genoux de leurs aïeuls pour y recevoir l'encouragement sous forme de baisers. C'est émouvant ces relations filiales à l'intérieur de la tribu, conserver l'enfance ludique alors que le travail est incessant, ils n'ont pas le choix, ils sont nés dans le clan, sont prédestinés à être sur la piste ou dans l'administratif, mais tous feront la fête ensemble après chaque représentation pour se défouler des tensions, un soir les hongrois, l'autre les russes, puis les italiens etc,  qui organisent en fonction de leur culture, une vraie tour de Babeĺ,
"À l'école nos enfants apprennent à lire, à compter, c'est très important, mais la vie c'est sous le chapiteau qu'ils l'apprennent,  surtout en tournée, où le décor change chaque jour, la mer, la montagne, les lacs, le bitume des villes! " On les entend parler diverses langues, quelle éducation! Ils sont fatigués mais heureux. "Sans joie on ne pourrait tenir!"
Du patriarche aux tous petits on sent la tendresse et le respect malgré l'ordre incessant et autoritaire"Allez! Au travail!"

Jean- Batiste Thierrée (Le Cirque Bonheur) racontait que les premiers spectateurs, durant les répétitions, étaient les malades mentaux qui passaient leur nez sous les bâches, fascinés par les trapézistes, "car il faut un grain de folie pour s'élancer dans le vide! "

On m'avait proposé une audition pour danser avec les éléphants, maman n'a pas voulu, inquiète pour une jeune fille de la promiscuité de la vie en caravane, c'est peut-être pour ça que beaucoup plus tard j'en ai eu une d'occasion au camping "Les oiseaux"à Trouville, et plus tard une autre dans un camp des loisirs à Juvisy.

Et puis, Michel, que je rencontre au café philo me raconte avoir vu un éléphant dans une opérette chantée par Lily Fayol et Merkès,sans savoir qu'il m'avait vue en tant que spectateur, danser dans le ballet, il n'avait que douze ans.

vendredi, juillet 17, 2015



VISITE NOCTURNEVisite guidée des collections du Musée Villa Montebello
au Musée Villa Montebello​
Dans le noir, à la lueur d’une lampe à UV, il est possible de voir à travers la couche picturale d’un tableau : les repeints, les retouches ou les anciennes restaurations deviennent visibles…

​​Design graphique SL
Tarif > 5
​€ ​​(sur réservation)


Information & réservation > 02.31.88.16.26 / musee@mairie-trouville-sur-mer.fr

Musée Villa Montebello
14360 Trouville-sur-Mer

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mercredi, juillet 15, 2015

Un cauchemard

Je suis dans un wagon de train avec une connaissance, nous essayons de nous installer pour la nuit, arrive Sternberg lequel à plusieurs reprises tire sur la mini robe blanche de la jeune femme car son slip noir frangé préfigure les poils pubien, mais à chaque fois que la jeune femme se rassied la robe  remonte,  son cors gracile est de ceux qu'aime Sternberg, peut être par égard pour moi il lutte, je ne sais que faire, quitter le wagon ou sauter par dessus la vitre.
Au réveil, je me souviens de l'histoire courte qu'il se plaisait à raconter: " Une femme entre dans la chambre conjugale, voit son mari avec une fille et dit " Excusez moi, je ne fais que passer! et elle saute par la fenêtre."

mardi, juillet 14, 2015

Feu d'artifice à la Tour Eiffel, cette grande dame à l'air de susciter l'orgie de pétards.

On nous a offert un concert avec tous les grands standards classiques et modernes que nous aimons, mais pas une note d´originalité dans la programmation. Chacun des interprètes était parfait. Puis les artificiers s'en sont donnés à cœur joie avec des brassées de fusées, Paris était le phare du Monde!

René Laloux

La planète sauvage, un film de René LALOUX - Premiere.fr

www.premiere.fr › Cinéma › Films
Fable politique en forme de dessin animé et le premier film du grand humoriste TOPOR. 0. Réalisateurs et acteurs de La planète sauvage. René LALOUXLire sa  ...

Sur le blog de Charles Tatum  je viens de voir un film de René Laloux filmé avec les patients de la Clinique Laborde. Les souvenirs ressurgissent, nos virées à l'aéroport d'Orly pour prendre le thé en regardant en partance les passagers qui traversaient le tarmac au vu du public, il n'y avait pas encore ces affreux boyaux qui les avalent à notre vue. 
À Laborde, Jean Batiste Thiérrée faisaient travailler  le texte de Jacques Sternberg "C'est la guerre Monsieur Grubert, " et le théâtre du Lucernaire les accueillait, texte en main car ces malades n'avait pas assez de mémoire, mais nous étions épatés de leurs interprétations.



  • RENE LALOUX - LES DENTS DU SINGE - vidéo dailymotion

    www.dailymotion.com/.../x1ik2w_rene-laloux-les-dent...
    22 mars 2007
    A l'age de 27 ans René Laloux accepte un poste dans une clinique psychiatrique . C'est en ...



  • RENE LALOUX - LES DENTS DU SINGE - vidéo dailymotion ▶ 11:07 www.dailymotion.com/.../x1ik2w_rene-laloux-les-dent... 22 mars 2007 A l'age de 27 ans René Laloux accepte un poste dans une clinique psychiatrique . C'est en ...
  • dimanche, juillet 12, 2015

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    10 juillet 2015

    Un gros dossier Resnais

    N’en déplaise à certains hérons de la critique post-moderne (souvent de maigres et pâlichons perroquets, qui confondent Migouel Gomche et David W. Griffith ou, plus cocasse, le journal d’Avesnes-sur-Help ! et celui, homonyme, que dirigea Jean-Louis Comolli), Positif a gardé de belles plumes (malgré la présence en son comité de quelques vieux merles ronchons). En témoigne le dossier du numéro d’été 2015 consacré au regretté Alain Resnais. On se contente d'en donner le sommaire. Qu’on le lise ! Le numéro coûte moins de dix euros, il est en vente partout et cet ensemble est à la hauteur de ces livres collectifs comme savent les faire nos éditeurs préférés. Indispensable. Un modèle. Alain Resnais est né le 3 juin 1922 à Vannes (Morbihan). Il est mort le 1er mars 2014 à Paris (Seine). Trois jours plus tard, le passereau qui commande aujourd’hui au destin de la république, déclara en lisant ses fiches, je cite de mémoire : « La France vient de perdre un grand artiste. » La France ? Mon c... Mes fesses. Taisez-vous, paltoquet élyséen, Resnais ne vous appartient pas. C’était un homme du monde. Les drapeaux, il s’asseyait dessus.
    sabine
    ~
    Les labyrinthes d’Alain Resnais, par Pierre Samson
    Portrait du cinéaste en savant, par Philippe Fraisse
    Le souffle de l’air, les grands espaces, le murmure de l’eau, par Vincent Amiel
    Alan, David et Alan : Resnais et l’Angleterre, par Eithne O’Neil
    Resnais documentariste [1948-1958], par Michel Cieutat
    La valse des lendemains orphiques [1959-1968], par Floreal Peleato
    À la charnière [les années 70], par Olivier Curchod
    Et l’oncle d’Amérique vint vraiment... [les années 80], par Pierre Eisenreich
    Les films comme souvenirs [1993-2014], par Yannick Lemarié
    « Il avait le culot de vouloir s’amuser », entretien avec Sabine Azéma
    « Ce qui nous reste à vivre... », entretien avec Pierre Arditi
    « Cher Alain... », éloge prononcé par André Dussolier, le 10 mars 2014, au cimetière du Montparnasse
    « L’épreuve du feu », par Sandrine Kiberlain
    « Aider Alain à créer », entretien avec Christophe Jeauffroy
    « Vous écrivez des films pour le théatre, je réalise des pièces pour le cinéma », par Alan Ayckburn
    Or..., par Michel Le Bris
    Le tsar se fait photographier, par Alain Resnais
    Arrivals & Departures, par Jean-Louis Livi
    couv positif
    Posté par charles tatum à 15:40 - Commentaires [0] - Permalien [#]
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