samedi, mars 31, 2007
Pantin Côté Court
Pantin Festival de courts-métrages
Au bistrot du coin, ce matin, la surprise: Philippe-Emmanuel Sorlin. Je suis restée sous le charme durant près de deux heures en terrasse dans le froid. Son ami, cinéaste lui aussi, nous offrait des tablettes de chocolat pour l'énergie. La culture de Sorlin est phénoménale, livres, films, musiques, on a le sentiment que certains êtres ont eu plusieurs vies, tels des sorciers.
jeudi, mars 29, 2007
Festival de Pantin Frédéric Tachou
Mon film intitulé Reste-là !, sélectionné au festival du court métrage de Pantin, sera projeté dans le Programme n°3 de la compétition expérimentale aux dates suivantes:
Samedi 31 mars à 20H00 - Lundi 2 avril à 22H00
Cinéma Le 104, 104 avenue Jean Lolive à Pantin, M° Eglise de Pantin
Tél: 01 48 46 95 08 www.cotecourt.org
Frédéric Tachou
Force 3
Lewino-Sternberg
Je connaissais surtout de lui ce « Petit Silence illustré » qu'il imprimait lui-même sur ronéo, je ne sais plus qui dessinait les illustrations à même les stencils, ce qui n'était pas un mince exploit. Tirage : une vingtaine d'exemplaires. Ces ancêtres des fanzines font, ou devraient, faire la fortune des collectionneurs. Bien sûr, je n'en ai conservé aucun exemplaire. Sternberg lui-même n'en possédait plus la collection complète.
Aussitôt le courant est passé. Ce n'était en fait pas très longtemps après l'holocauste et notre façon commune de réagir a été de jouer les goys honteux, de nous proclamer juifs alors que nous ne l'étions ni l'un ni l'autre d'après la loi mosaïque, nos mères n'étant pas juives.
Je ne sais plus s'il avait déjà publié ce petit miracle de l'angoisse prémonitoire :« La sortie est au fond de l'espace »
Laissons aux spécialistes le soin de disséquer une oeuvre riche de quarante volumes à nulle autre comparable et laissons au trou noir de l'avenir le soin de dire quelle est sa place dans le panorama de la création littéraire de la seconde moitié du XXe siècle.
J'ai envie de parler de mon ami Sternberg, ce ludion sur ressort, roulant solex, et navigant sur dériveur sans jamais s'éloigner de plus d'un mile de la côte.
J'ai envie de rappeler qu¹un jour il se risqua à traverser seul sur son
rafiot le bassin d'Arcachon et en fit un bouquin de 200 pages.
J'ai envie de signaler qu'il ne pouvait pas voir une machine à écrire sans lui enfiler une feuille et taper au débotté un conte, une petite nouvelle, une short story. On sait qu'il en a publié plus de mille.
J'ai envie de me souvenir de ces samedis matin dans la boutique du Terrain Vague, rue de Verneuil, où il venait récupérer discrètement, sur ses droits d'auteur, le billet de 100 francs que Losfeld sortait de son tiroir en lui demandant de pas le dire à Pierrette sa comptable d'épouse.
J'ai envie d'avouer ma jalousie devant ses succès féminins, car ce petit bonhomme, qui ne restait pas en place et que la calvitie guettait, était expert en l'art de la séduction. Je le revois dans les bistrots où nous nous donnions rendez-vous, d'abord le Flore, puis le Select, je le revois cavalant d'une table à l'autre, saluer les dames qu'il connaissait, et dire au passage à une inconnue qu'elle avait un beau visage, les beaux visages pullulent dans ces sortes d'endroits. Dire à une femme qu'elle a un beau visage est autrement subtil que de lui dire qu'elle est belle. Le langage au service de la séduction.
J'ai envie de parler de Dorothée. De Dorothée, si belle et née dans une prison nazie, qui fut la seule maîtresse qui compta dans vie d'homme par ailleurs marié. De Dorothée, qui l'aima follement, lui pardonna tout, ne le quitta jamais et passa tous ses étés, superbe sirène, allongée nue sur son dériveur au large des plages de Trouville avant de le rendre à sa femme et de regagner sa tente au camping des Oiseaux.
J'ai envie de battre ma coulpe à propos de « L'Anonyme » son roman à la gloire de Marlon Brando, qu'il admirait entre tous au point de le transformer en une manière de Sternberg roulant Solex et naviguant sur dériveur. Je n'avais pas aimé le livre et, avouons-le, par pure perversité, je lui avais proposé d'en dire ce que j'en pensais dans un hebdo qui comptait où j'avais mes petites et mes grandes entrées. Le malheureux accepta. Il s'en releva mal mais ne m'en voulut jamais. Tel était le Sternberg que j'aimais.
J'ai envie de rappeler son combat pour le dessin d'humour, du vrai, celui qui se passe de légende et s'affirme par sa seule invention graphique. Topor, Gourmelin, Ylipe, Mose, et quelques autres, lui doivent une partie de leur renommée. Son dieu : Chaval le seul à ses yeux qui sut jouer de légendes en décalage afin de magnifier le dessin.
J'ai envie de me souvenir de son fabuleux égocentrisme qui est la marque des écrivains authentiques. Il ne pouvait parler que de lui, le plus souvent en s'auto-dénigrant. Un mélange de génie incompris, de délire inspiré et de
roublardise maladroite.
J'ai envie de le féliciter pour avoir sut d'arrêter whisky et cigarettes quand « France soir » cessa de lui payer des chroniques hebdomadaires imposées par Pierre Lazareff qui lui rapportaient gros.
J'ai envie de me souvenir que vers la trentaine nous parlions de nos essais littéraires ; que vers la quarantaine nous ressassions l'incompétence nos éditeurs et la connerie de nos (rares) critiques ; que passés nos cinquante ans nous rabâchions les succès et les échecs féminins de nos démons de midi ; que la soixantième venue nous pleurions sur notre difficulté à comprendre la mentalité et le comportement de nos petits-enfants ; que nos « septantes » années passées seules nos maladies et leurs séquelles nous tracassaient.
J'ai envie de dire qu'on en fait plus des types comme lui. Des ludions qui flottent entre deux eaux et pour qui la réussite ne relève ni de la mode ni de la rentabilité.
J'ai surtout envie de pleurer à mon tour en me rappelant qu'à notre dernier coup de téléphone ‹il ne sortait plus depuis deux ans et sa porte était interdite ‹ quand il me dit son soulagement et son bonheur de m'entendre alors qu'on lui avait dit que j'étais décédé et qu'il en avait pleuré pendant trois jours.
Merci Sternberg, merci vieux schlemil, merci pour ces larmes. Ce fut un merveilleux cadeau. On réglera ça plus tard, au paradis des auteurs mal-aimés.
Walter Lewino texte de Dorothée dans" L'Attente du Père"
mercredi, mars 28, 2007
mardi, mars 27, 2007
Le printemps
dimanche, mars 25, 2007
Concert aux 7 Lézards Improvisations Préméditées
Néna était tellement enthousiaste qu'elle veut y entrainer toute sa famille au prochain concert au même endroit le 28 avril www.budamusique.com
Le pleur...des championnes
Edith Piaf FR2
Ce sont des gens trop incandescants pour devenir de petites braises! Ils sont mille fois plus "tout" que les autres. Quand ils meurent à quarante-cinquante ans, ils ont fait leur plein de vie! (Charles Dumont parlant de Jacques Brel et d'Edith Piaf)
Quand tu chantes, on dirait que tu arrache ton âme pour la dernière fois! lui écrivait Jean Cocteau qui est mort le même jour.
samedi, mars 24, 2007
Le goùt de l'évasion
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vendredi, mars 23, 2007
Le Salon du Livre Porte de Versailles
jeudi, mars 22, 2007
Anonyme, connait pas!
Grand-mère en colère
mercredi, mars 21, 2007
Grand-mère
Simplement le luxe est une chose que je n'avais jamais connu, il s'habillait chez les couturiers italiens, par curiosité j'ai voulu savoir où était la charnière entre le charme, l'intelligence et le snobisme, les limites ont été vites atteintes. Sternberg n'avait eu vent de rien, tellement occupé à étaler ses conquêtes sur les banquettes du Flore où de Chez Lipp, pendant que je vivais en sourdine. (Il m'avait autrefois surnommée La reine de la molesquine et La bécassine des temps modernes. lorsque c'est moi qui faisait banquette en l'attendant).
mardi, mars 20, 2007
La lundinite
lundi, mars 19, 2007
Le saut du chat
dimanche, mars 18, 2007
Les archers
Stern n'aimait pas que je dise à propos de quelque chose ou de quelqu'un: "Je bande! ou pas!- Est-ce que je dis moi, je mouilles!"
Ghislain Cloquet en bibliothèque
Yolande Moreau Théâtre du Rond Point
Les brèves de Néna
Je n'irais pas en croisière, on a toujours un pied plus haut que l'autre, en bateau!
samedi, mars 17, 2007
Le bébé
Certains aiment l'esprit marseillais, je préfère l'humour noir, juif.
Faire la chose-la guerre-l'amour--du blé--la belle--la bête-de la politique-des petits- son lit- de la place- le ménage- la cuisine- le bien- l'aumône- sa toilette- ses ablutions- ses classes- l'idiot- pipi- caca. J'ai toujours trouvé ce mot faire prosaique
En discutant avec Jérôme Reybaud de son édito dans lalalala.org, je me suis souvenue , après coup, qu'à 17 ans, quand nous copulions Jacques Loew et moi, j'employai le mot "lalala". (nous lalarisions- vous lalarisez) Il faut dire que Jacques était un fan de Charles Trenêt, un coup à l'Olympia, l'autre année à Bobino.
vendredi, mars 16, 2007
2 kg 5 de papiers envoyés à la nièce belge: 50 euros
Jacques Loew avait dit à Sternberg: J'ai connue une jolie jeune fille gaie, tu en as fait une belle femme neurasthénique!
Entre ces deux lascars, loin d'être un long fleuve tranquille, j'étais une rivière tortueuse qui tentait se frayer un chemin entre rocailles, vert pré, et le large. Une petite rivière de sang des avortements réussis et des suicides ratés. Cela ne laissait guère d'énergie, ni de temps pour le travail. Au mieux, je m'exilais pour subsister; Allemagne, Suisse, Belgique, Turquie, Maroc, Espagne , Italie. Le contraite des SDF qui ne font que de l'inta-muros. Il est sûr que je n'avais ni téléphone, ni répondeur pour une éventualité de carrière artistique. Seule ma plume m'a sauvée: des carnets de routes, en somme!
Hier soir, Smaïn se défendait devant Ruquier: Ce n'est pas parce-qu'on ne passe pas à la télé qu'on ne fait rien! Je suis papa, je biberonne, je fais des tournées!
Les biographes font toujours des hyatus par défaut de questionnement. J'ai 3 ans de moins, ne suis donc pas née en prison, par la gràce d'une historienne allemande. On ne m'a plus employée au cinéma, alors que mes amoureux ne savaient où me joindre. A cinquante ans Ghislain m'a dit: Je vieillis, je n'ai plus la force de courir derrière vous! Et Stern, après de multiples aventures s'est laisser fagociter pour faire amende honorable. A ses quarante-ans je lui disais déjà. De l'infantilisme, vous passerez directement à la sénilité sans être jamais passé par la case adulte!
mardi, mars 13, 2007
Hubert Reeves Mairie du troisième
Irina Palm
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Synopsis | |||||||||
Une grand-mère veut sauver son petit-fils, il lui faut de l'argent, elle en gagne dans un sex-shop jusqu'à attraper un pénis elbow. c'est drôle, tendre, émouvant, de bout en bout.
lundi, mars 12, 2007
vendredi, mars 09, 2007
Roland Topor
Au recto- Ungrand dessin à la plume représantant Jacques Sternberg en train d'emballer quelques unes de ses oeuvres dans du papier craft.
Au verso-Deux portraits, l'un de Saul Steinberg, l'autre de Joseph Sternberg, seront chacun barré d'une croix, afin d'éviter au public tout risque de confusion avec Jacques Sternberg.
Voilà. J'oubliais de préciser l'emplacement du monument. Il sera érigé au milieu de la chaussée, Boulevard Saint Germain, en face du café de Flore, juste à la sortie du parking. Je concois l'inquiétude des automobilistes, mais qu'ils se rassurent: l'obstacle sera signalé de jour comme de nuit paer des feux clignotants, et entouré d'un cordon de gardes républicains, à cheval, en tenue de parade.
Les pouvoirs publics se font malheureusement un peu tirer l'oreille avant de donner leur accord définitif, cependant l'affaire est en bonne voie. Monsieur Maurice Druon, de l'Académie Française, Ministre de la Culture serait, aux dernières nouvelles, légèrement réticent. De mauvaises langues rapportent qu'il aurait fait à ses intimes le serment suivant: "Moi ministre, ce monument ne verra jamais le jour!"
Alors, pouvons nous agir pour que le monument à la gloire de Jacques Sternberg se concrétise dans les plus brefs délais?
Oui.
Une association des amis et admirateurs de Jacques Sternberg va être créée sous peu. Une pétition rassemblera les signatures des 3442 lecteurs de l'écrivain, (42 hommes, 3402 femmes). Des grèves sauvages éclateront. Des guerres peut-être . Mais au bout du chemin, j'en suis convaincu, la victoire nous appartiendra. Vive le monument à la gloire de Jacqus Sternberg: Vive Jacques Sternberg!
Roland Topor
P.S. Evidemment, si Jacques Sternberg était mort, français, catholique et très con, ça nous faciliterait drôlement les choses!
jeudi, mars 08, 2007
Cléo de cinq à sept (Agnès Varda) Arté
Après, il y a eu le portrait de quatre albanaises.(...) Dès la puberté ces jeunes filles ont refusé leur féminité afin de faire des travaux d'hommes plus gratifiants,en forçant le respect de la gente masculine du village. Refus de souffrir comme l'ont fait leurs mères qui travaillaient la journée pour l'état et le soir il leur fallait vaquer à tous les soins du ménage et de la famille. D'autres, c'est pour garder l'amour du père qui avait perdu ses fils à la guerre. Mais pour ne pas être victime de l'opprobe de leurs voisins, il fallait sacrifier toute sexualité. Le plus curieux c'est que ni dans la silhouette, la voix, ou le visage dont les cheveux sont coupés, n'apparait l'ombre d'une ancienne féminité.
mercredi, mars 07, 2007
Sternberg en bateau
Le vieil ami à qui je demande le service de scanner ces photos:" Pour me remercier, tu me feras une pipe!- OK! Mais pas devant ta femme! Oh! elle ne sait pas se que ça veut dire scanner, ni faire une pipe!"
mardi, mars 06, 2007
Miro Gavran Traduction et adaptation Andréa Pucnik Avec, par ordre alphabétique Camille Cottin, Thomas Dewynter, Jean-Claude Drouot, Vincent Primault, Marie-France Santon 1890, Tolstoï , le plus grand écrivain russe, a déjà l’essentiel de son œuvre derrière lui. Il vit replié dans son domaine d’Isnaïa Poliana, en compagnie de sa femme, Sofia. En ce début d’été, le couple convie Tchekhov, jeune écrivain à la mode avec sa femme Olga. Très vite, Tolstoï propose à son confrère de prolonger son séjour pour qu’ils écrivent ensemble un soit-disant livre de conversations. De son coté, Sofia pousse Olga Tchekhov à écrire avec elle un livre de révélations. Les étranges relations littéraires qui se tissent à l’intérieur de la datcha se doublent très vite de jeux de séductions. Dans la chaleur estivale, portées par la vodka, les relations se tendent et les manipulations se dévoilent. Tolstoï et Tchekhov se sont rencontrées à plusieurs reprises, Tchekhov a bien été invité à Isnaïa Poliana, mais toute ressemblance avec la réalité s’arrête là. Miro Gavran évoque, à travers la rencontre entre deux des plus grands écrivains russes de la fin du 19e siècle, le rapport conflictuel si particulier entre deux générations et deux visions du monde. Sur ce fond de confrontation intellectuelle, le spectateur assiste à une comédie imaginaire où les rapports de marivaudage resteront inaboutis et mèneront crescendo à une extravagante apothéose. Production : 4e dimension / Compagnie Marie-France Lahore du 7 mars au 29 avril |
Hubert Reeves Mairie du troisième Paris
lundi, mars 05, 2007
Les lettres
dimanche, mars 04, 2007
Ma photo préférée
vendredi, mars 02, 2007
Vieux rêve
Dans un sentier bordé par des plants grimpants de haricots verts: Mais ce sont mes haricots verts, c'est moi qui les ai plantés!. Je me mets à remplir ma jupe à défaut de sac. Il est temps de les cueillir car certains pourrissent déjà tellement ils sont énormes. Au passage je fauche une salade, des bananes, et des poires qui sont étalées sur une claie. Il y a aussi de belles noix par terre, pour les protéines, mais ce serait trop encombrant. J'ai déjà à manger pour plusieurs jours.
Le grenier: René Quison, Marina Vlady
J'ai donc une vieille photo de René Quinson recevant de la main de Marina Vlady La médaille de Chevalier des arts et lettres "-Je préfère embrasser Marina que Jak Lang! dit René.- Mais ce n'est pas du toc, c'est du vrai, de la part du Ministre de la culture!- Je vois que l'on a pas oublié le médecin de service! en saluant Schwartzenberg. Cela se passait au Fouquet's en juin 89. Aucun chargé de presse n'aurait pù rêver de salle plus prestigieuse. Ils étaient tous là,le tout Paris, pour saluer, avec reconnaissance, le simple et humble journaliste qui avait fait son métier avec gentillesse, et les grands fauves absents, Belmondo, Alain Delon et les autres, car ils tournaient en extérieur, n'avaient pas omis de donner leur écot pour ce repas au Fouquet's et alimenter la cave de René Quinson qui les suivait lors de tournages où de festivals. Point de préséance entre vedettes, ce soir là, c'était lui la star, et drôle... La salle était dans le noir lorsqu'il est arrivé, tout avait été préparé dans le plus grand secret par sa secrétaire et des chargées de presse, je craignais qu'il n'est une attaque du coeur, c'est là que l'on s'aperçoit que mis en lumière, beaucoup de gens peuvent avoir du talent. Nous étions tous très émus, Souchon avait créé une chanson pour l'occasion et nous avions le CD sur l'assiette. C'est la plus belle soirée parisienne à laquelle j'ai pù assister.
Golden door
Film français, italien. Genre : Drame Durée : 1h 58min. Année de production : 2006 Distribué par ID Memento Films
Magnifique chronique d'une famille italienne qui émmigre en Amérique.
jeudi, mars 01, 2007
Le spleen du voyage
Lorsque Sternberg ma reniée dans ses mémoires, un Chevalier Blanc,THTH,qui n'était autre que l'un des admirateurs de l'écrivain, m'a vengée en effaçant le visage du traitre. Je voudrais bien revoir sa bobine.