dimanche, mars 29, 2015

Daniel Wallard- Musé Montebello- Trouville.

Dominique Wallard Thomasson, dite "Le petit Podda", a été exemplaire de simplicité, naturel et charme pour présenter les photos faites par feu son mari Daniel. Nous sommes retombés dans une époque riche de rencontres pour ce pharmacien de Trouville, aussi bien dandy qu'amateur d'arts et photographe, tout ça a plein temps. Lui et sa femme m'ont toujours sauvée du naufrage quand Sternberg naviguait par tous les temps, et me laissait détrempée pour rejoindre ses foyers. J'avais alors trois familles d'adoption pour m'empêcher de me suicider, les Wallard, les Drouot, et Gilbert Héron et Arlette Gilles au Club Méditerranée. J'y trouvais gîte et couverts à chaque trafalgar d'un amant infidèle ou d'une blessure physique. Cela paraît incroyable que la boucle soit bouclée après cinquante ans, grâce en partie aux érudits et historien tel Benoit Noël qui se font l'écho de nos humbles vies.

http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:Portrait_Daniel_wallard.jpg

jeudi, mars 26, 2015

Spectacle Musical avec le Choeur de Trouville et Laura Rabia
Salle des Fêtes
Voulez-vous participer ?
Libre participation aux Frais et Buffet des choristes offert à l'issue de la représentation ! Venez découvrir Le  Choeur de Trouville qui vit au rythme de sa Passion !
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mercredi, mars 25, 2015

L'Association des Amis des musées de Lisieux propose la conférence :
Jean-Léon Gérôme, Jacques-Émile Blanche et André Gide

au château de Tout-la-Ville (Saint-Martin-aux-Chartrains - Calvados)

Par Benoît NOËL, historien d’Art
Mercredi 1er avril 2015 à 14H30 - Espace Victor Hugo - Lisieux Entrée 

Château de Tout-la-Ville © Lagarde

Jacques-Emile Blanche : "Partie de tennis", coll. part.
  Situé entre Pont-L’Évêque et Deauville, dominé par la forêt de Saint-Gatien, le château de Tout-la-Ville surplombe à son tour, la vallée de la Touques. L’éditeur d’art et marchand de tableaux, Adolphe Goupil l’acquiert en 1868. Il sera maire de Saint-Martin-aux-Chartrains de 1875 à son décès en 1893. Son gendre, le peintre Jean-Léon Gérôme, séjourne très régulièrement en ce domaine aux vastes cèdres au point qu’une de ses filles y voit le jour. Marie Goupil hérite de Tout-la-Ville à la mort de son père. Les étés 1896, 1897 et 1898, le peintre Jacques-Émile Blanche le loue et y redécouvre la nature plus grasse et verte encore qu’aux alentours de Dieppe. Il hésite entre Tout-la-Ville et le château de Boutemont (Ouilly-le-Vicomte) l’été 1899 mais finalement loue un manoir au Fossé près de Forges-les-Eaux (Seine-Maritime). En août 1900, Blanche, sa femme, belle-mère et belles-sœurs sont de retour à Tout-la-Ville et rebelote d’avril à octobre 1901. Il envisage même, cet été-là, d’acquérir un manoir à Saint-Martin-aux-Chartrains et tous les villageois le pressent de visiter la moindre masure. Blanche reçoit André Gide à Tout-la-Ville à plusieurs reprises et ne cesse de lui écrire, comme le 4 septembre 1896 : “Ici, révélation subite de la nature. J’avais un grand projet : un groupe de famille. Mais mes parents considèrent mon travail comme une partie de tennis. Au fond, un artiste ne peut vivre en société, s’il est un peu fou comme il faut l’être pour poursuivre sans relâche une idée”... 
Benoît NOËL












mardi, mars 24, 2015

C'est effarant !

Un couple âgé face à moi dans le compartiment, ils ne se sont pas regardé ni parlé durant le trajet de deux heures. Il a consciencieusement lu le journal, elle a dormi un peu, puis a essayé de s'intéresser aux articles ne levant pas le nez vers lui, n'osant le déranger, de temps en temps le mari faisait un sourire à une personne assise au loin derrière mon dos, je n'ai su si c'était un homme ou une femme, seulement à l'arrivée en gare le couple a échangé quelques mots pour l'attribution des bagages.

Alors que nous voguions chacun de notre côté, Sternberg me dit un jour:" Le dialogue ne s'est jamais arrêté entre nous deux! Vous êtes mon éternelle fiancée!"
J'avais pris du galon en nous séparant, avant j'étais "La bécassine des temps modernes" ou "La reine de la moleskine!" Comme je ne disais mot, ses amis demandaient:" Elle est folle ou idiote? - Les deux!" leur répondait-il.
J'ai toujours privilégié la relation de charme à la sécurité matérielle d'une relation, je n'ai épousé personne...lui n'aurait jamais quitté sa femme:"Elle est la prunelle de mes yeux!"

J'adorais prendre le train avec lui, il gesticulait dans les couloirs, parlait fort,  tout le wagon en profitait et riait, et moi j'étais fière de l'accompagner.

Qu'est ce que d'être mariés quand la relation s'éteint comme une chandelle, qu'on se subit l'un, l'autre , en espérant que l'extérieur va nous sourire.
 Je suis triste d'être seule, mais au moins je respire sans demander la permission de sortir.

lundi, mars 23, 2015

L'amitié

Classe tout risque, de Claude Sautet
 (Arte, 20 h 45)
Le genre : de Libé :  «Un polar sec, tragique et beau comme peu de films français. L’interprétation, dominée par Belmondo et Ventura, est remarquable.»

J'ai dormi avec Ghislain chez moi, sur un matelas à même le sol, je devais me coller à lui pour être sous l'édredon, il faudra que je  trouve celui pour deux personnes, dans son sommeil il a entrecroisé ses doigts d'une main avec les miens, bras tendus c'était forcément près de son sexe qui est resté immobile.

samedi, mars 21, 2015

La fin de la pellicule- Laetitia Lambert -http://www.laetitialambert.fr-

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« Il n’y a pas de réponses. Il n’y a que des choix » AndreÏ Tarkovski

vendredi, mars 20, 2015

Qui admirer?

Plus je cherche, moins je trouve, le ménage a été fait au sens propre comme au figuré par forcément des proches durant mes mois d'absence,  ils m'ont cru moribonde, moi aussi,  petite brocante oblige, mais seraient-ce des littéraires, deux manuscrits inédits se sont fait la malle.
J'avais étudié le problème de la kleptomanie, frustration sexuelle, problème identitaire, manque affectif , la misère quoi!
Mon désordre laisse à croire que je ne recense pas mes objets, leur utilité vient à jour avec mes besoins, le plus onéreux c'est de faire revenir le serrurier, les documents n'ont qu'un prix subjectif. Le plus triste c'est d'avoir à désaimer ses amis, ne plus faire confiance, alors qu'on les admirait pour leur charme, leurs talents. Ce n'est pas d'aujourd'hui cette plainte, ma surprise est de constater que ni l'âge, ni l'extrême faiblesse ne donne des scrupules à ces gagnes-petits.

jeudi, mars 19, 2015

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mardi, mars 17, 2015

Le fond du tiroir


Accueil > En cours > L’adieu à l’argentique de Fabrice Vigne

L’adieu à l’argentique


Vers l’âge de six ans, j’ai vu King Kong sur écran géant (du moins, géant vu de six ans – ça n’était peut-être que deux mètres sur un et demi). Ma bouche béait. Dès lors, j’ai su que le cinéma est grand, et que la télévision, la VHS, le DVD, Internet, tout ça n’est que pis-aller et faute-de-mieux.
Je me suis ingénié depuis à passer le plus de temps possible dans l’ombre hantée, enchantée, habitée, des salles de cinéma. Je suis devenu projectionniste (16 mm) du ciné-club de mon lycée afin d’approcher au plus près la machine à dérouler le ruban de rêve (Orson Welles) qui nécessite deux bobines identiques parce qu’Auguste et Louis Lumière avaient presque la même tête (Jean-Luc Godard), afin d’être l’ordonnateur du tour de magie, d’être le mage en personne, j’ai bien l’honneur. Puis j’ai passé mon CAP de projectionniste (35 mm), et j’ai bossé dans des cinémas durant la majeure partie de mes études. Des petits cinémas, une seule salle, pour pouvoir m’installer dans la salle et voir le film une fois la mécanique lancée, bouche bée.
Cette mécanique m’émerveille comme au premier jour. L’invention des Lumière est géniale depuis 1895 : pour capturer le mouvement, il faut miser sur l’illusion de la persistance rétinienne, projeter une photo après une autre photo et ainsi de suite, et pour cela trouver le moyen de faire défiler la pellicule non en continu, mais en saccadé très-très vite. C’est la fameuse croix de Malte, qui permet d’accrocher les perforations de la péloche chaque vingt-quatrième de seconde. 24 fois par seconde : une image fixe, puis un noir infinitésimal, puis une autre image fixe. Fixation/saccade/fixation. Et nous sommes bluffés parce que les personnages bougent comme dans la vie.
Là où l’intuition des Lumière est confondante, c’est que leur découverte, cette continuité visuelle factice par la grâce de la discontinuité, reproduit le mécanisme rétinien de la lecture d’un texte, tel qu’il serait mis en évidence par des savants en psychologie cognitive des décennies plus tard : lorsque vous lisez, y compris le présent texte, le mouvement de votre oeil n’est pas fluide, il est discontinu. Votre rétine s’attarde en ce moment même, environ 240 millisecondes (mais cette vitesse est variable selon les individus), sur un groupe de 4 à 5 caractères, avec vision périphérique d’une dizaine d’autres, de part et d’autre. Puis, pendant un laps encore bien plus bref mais non nul, l’œil avance le long de la ligne, et pendant ce déplacement de quelques millisecondes, il est virtuellement aveugle. Image, noir, image. Notre oeil est aussi bien fichu qu’une croix de Malte, et regarder un film, en quelque sorte, c’est lire.
Depuis près de dix ans maintenant, j’accomplis divers autres métiers, mais je reste projectionniste bénévole pour l’Écran Vagabond du Trièves, un film par quinzaine en moyenne. Or, la dernière séance (le rideau sur l’écran est tombé, tout ça), a eu lieu hier soir. J’ai chargé la bobine sur la croix de Malte, j’ai lancé le film, et puis après j’ai rembobiné, j’ai empilé les chaises, pour la dernière fois, avec la larme à l’oeil parce que je suis sensible aux dernières fois. La bobine argentique, le film à proprement parler, est à ranger au grenier des technologies épuisées. Le cinéma est désormais presque à 100% numérique, et notre circuit de projection itinérant, en attendant d’avoir les moyens d’investir dans un nouveau matériel, s’interrompt. Si un jour nous sommes en mesure de projeter en numérique, je n’aurai rien contre, hein, elle est très belle aussi, l’illusion numérique, on peut en faire des choses avec des zéros et des uns. C’est juste que je ne comprendrai pas comment ça fonctionne. Et que je les aimais bien, la métaphore du ruban et la croix de Malte qui montre et qui aveugle 24 fois.
Le film, incidemment, était Alceste à Bicyclette. Pas mal. Même s’ il est toujours un peu casse-gueule de se lancer dans une histoire à partir d’une histoire plus ancienne, dont on sait qu’on n’arrivera pas à sa cheville. Alceste à Bicyclette, c’est fatalement moins bien que Le misanthrope. (Un ami m’avait dit à propos de mes Giètes : ah ouais, c’est vachement bien écrit, surtout les passages écrits par Flaubert.)
En tout cas, il est ironique, quoique logique, que ce dernier film, cet adieu au cinéma renvoie au théâtre. Là où les gens bougent pour de vrai et où l’illusion est ailleurs, plus archaïque.
Mise à jour dimanche 27 mai 2013 : aujourd’hui, des centaines d’hystériques n’ayant rien de plus urgent à faire que de fourrer leur nez dans la sexualité d’autrui, d’opportunistes politiques, et de fascistes à ciel découvert, ont à nouveau défilé pour protester contre une loi qui autorise des gens qui s’aiment à se marier ; simultanément, le Festival de Cannes remet une palme d’or à un film qui raconte l’histoire de deux femmes qui s’aiment. Le cinéma est grand, CQFD.
photo de Sophie Lebrun- Eric et Time sa femme et modèle

Poïèsis des arts

Vernissage de Éric Bobinski jeudi 26 Mars à 19h00 au 12 rue de Jouy Paris 75004.

samedi, mars 14, 2015

La nostalgie d'une voix. Jean Ferrat -Michel Drucker -France2

Léo Ferré

Né(e) : 24/08/1916 à Monaco
Mort : 14/07/1993 à Castellina-in-Chianti (Italie)
Pays : France
Langue : Français
Qualité : Auteur / Chanteur / Compositeur
Genre musical : Chanson
Je me souviens à l'époque avoir adoré les poèmes d'Aragon chantés par Léo Ferré
Je me délectais des mots, du ton, de la musicalité extraordinaire de ce chanteur fou. C'est dire que j'ai eu du mal à m'adapter à Jean Ferrat, dans le même registre, d'autant que j'étais amoureuse de Christine Sèvres, de sa voix grave de tragédienne, je la côtoyais au cours de Charles Dullin.
A chaque fois qu'un comédien ou un chanteur a marqué de sa primature  un rôle ou une chanson, il y a danger, la mémoire vous empêche de goûter aux créations revisitées. C'est encore ce sentiment de manque, de frustration, que je ressens  dans les hommages fait par les nouvelles générations d'interprètes à Jean Ferrat.
C'est hier que j'ai fait ce rêve, Ghislain apparaît, il me prend dans ses bras, je sens dans ma poitrine le désir monter, dormirons nous ensemble, nous sommes dans l'appartement de son ex-femme Isabelle, je vais dans la chambre de celle-ci afin de nous isoler, pendant ce laps de temps, Guislain est reparti, comme à son habitude, je ne sais où, vers qui, combien de temps...je retourne dans un lieu  ou je dois tourner si j'en crois mon souci de trouver des fards. Je vois Guislain en arrière dans la foule des figurants, puis deux trois de ses techniciens avec lesquels j'ai déjà travaillé. L'un, apercevant l'opérateur se moque" Tiens, Alekan!" D'abord ce n'est pas Alekan, en plus c'est indiscret, cette allusion! je me fâche.
Ce rêve est récurant, un amour avorté, ou parce que Guislain est mort, il me serre contre lui, mais ne peux me pénétrer, que me marquer de la tendresse, et disparait parmi les ombres, cela fait un bail que cela dure, trente-cinq années.

Le danger.

Je vais prendre une douche, au sol, une grande flaque d'eau, et dedans un crocodile, il a l'air amputé d'une nageoire,  mais sa tête paraît agressive. Un petit chien blanc attaque le monstre, heureusement après force aboiements, il se coule sous le ventre du monstre et réapparaît vers la queue. Je m'arme d'un manche à balai, sans trop m'approcher car je suis pieds nus, le crocodile sort par la porte d'en face qui donne sur un petit jardinet. Je me crois sauvée puis je réfléchis,  j'aurais du garder prisonnier le prédateur enfermé dans la douche et appeler les secours, maintenant la bête est à l'air libre, Dieu sait où il sera quand viendront les spécialistes afin de le capturer, en attendant, toute la population est en danger.

vendredi, mars 13, 2015

La compréhension.

Beaucoup d'animateurs ont un débit très rapide qui chevauche la parole de l'invité,  et de rire (private  jock?)  cela n'aide pas à la compréhension.  Les chroniqueuses ne sont pas en reste, hystériques pour parler de mode, de beauté, grimaces à l'appui pour amuser à défaut de plaire, tout un petit monde payé, peut- être pas beaucoup, mais qui a le pouvoir de laisser coi un intervenant.
Je ne supporte plus les maîtresses d'école qui flagellent leurs collègues de blâmes, si eux le supportent, j'en ressens l'humiliation.



EXPOSITION : DANIEL WALLARD PHOTOGRAPHE
du 21 mars au 31 mai 2015

CONFÉRENCE ILLUSTRÉE : DANIEL WALLARD PHOTOGRAPHE
par Benoît Noël, historien d'art
samedi 30 mai 2015
 - 17h

Musée Villa Montebello
64, rue Général Leclerc
TROUVILLE

lundi, mars 09, 2015

Gros brouillage

Un gentil ORL, faute d'aspirateur dans le dispensaire, m'a nettoyé les oreilles au carcher, je ne comprend plus que couic...
Avec les cellules souches les dents ne repousseront que dans cinquante ans, ce n'est pas pour vous, m'a affirmé le dentiste.
On m'a laserisé une cataracte secondaire, j'ai retrouvé de l'équilibre. Et comme m'avait dit Arlette Gilles" Il vaut mieux voir arriver de loin!"
Une laborantine paniquée m'a téléphoné " Vos marqueurs ont augmenté allez vite voir quelqu'un! J'ai pensé au professeur  Aimery de Gramont avec lequel  j'avais évidemment RV...Je dis des bêtises, histoire de faire une récréation, je ne sais pas comment ils peuvent gérer le stress que nous leur projetons dans la gueule, ma sœur Suzie infirmière , était déprimée au bout du compte.
J'ai rajouté 3cm de talonnette  afin de ne pas faire de procès au prothésiste.
 Et j'ai hurlé contre une  rapace, au café philo, qui se mêlait de prendre de mes nouvelles,  je n'ai pas digéré ne pas avoir retrouvé mes gants.
De plus, le rhume hivernal avec angine et toux continue à courir, je ne veux pas contaminer la rue, laquelle est estivale, les terrasses sont pleines de notre belle jeunesse!

lundi, mars 02, 2015

la palme

Qui mérite  la palme de la patience, ceux qui lisent dans les salles d'attente, ceux qui regardent les autres, ou ceux qui ne voient rien.
 j'aime beaucoup ce proverbe chinois "Si tu es le plus riche des hommes, tu trouveras plus riche que toi, mais si tu as cinq minutes de patience de plus, alors tu seras le plus riche! Si tu es le plus intelligent, tu trouveras un homme plus intelligent, mais si tu as cinq minutes de patience de plus etc, etc......