dimanche, mai 25, 2014

Commandos Kieffer

http://fr.wikipedia.org/wiki/Marine_nationale_fran%C3%A7aise
Deux fois je suis allée au Musée de Caen, et la même émotion, vous ne pouvez que pleurer devant tous ces jeunes sacrifiés venus de si loin pour sauver la France.
Nous venons de voir sur F2 les quatre derniers survivants français du commando Kieffer sous pavillon britannique, c'est avec humilité qu'il racontent leur débarquement"- Et revenir à la normalité?- C'a a été difficile, nous avions été instruits pour tuer, alors la normalité !"

mercredi, mai 21, 2014

L'absurde ne nous fait pas peur!

Ces trains trop larges auraient inspiré un sketch génial à notre cher disparu Raymond Devos. On va être la risée mondiale  pour notre savoir faire.

lundi, mai 19, 2014

Piscine Molitor

Jacques Sternberg  m'emmenait souvent  nous y rafraîchir entre deux match de tennis, à Roland Garros, nous  nous déplacions à Solex , ce n'était pas la grande foule, un luxe. Les autres après-midi c'était dans les salles obscures des champs Élysées ou notre homme assouvissait sa passion pour les grands mélos américains tout en mâchouillant un chewing-gum, protegė par son bonnet de marin, des deux bras emprisonnant son torse, aucune velleitê de flirt, j'étais frustrée.

samedi, mai 17, 2014

La foi de Lens-F2

Émouvant documentaire sur les supporters de Lens, ils ont tous la foi du charbonnier, chacun a eu un grand père qui était descendu dans la mine, maintenant les torils ferment les uns après les autres, leur reste l'orgueil du club de foot, et ils découvrent leur Louvre, comprenant la passion des amateurs d'art " Entre passionnés, on se comprend, nous c'est le foot! L'émotion on la vit entre nous, ensemble, bonne ou mauvaise c'est très fort, durant une heure et demi, on oublie tous le reste!"
Un temps j'ai rêvé acheter une petite maison de mineur, alignée les unes à la suite des autres, dans un quartier quasiment déserté, cela avait un charme nostalgique. Et puis, ayant suivi un certain temps les grands matchs au Parc des Princes, la houle des spectateurs faisait vraiment venir la chair de poule comme nous l'a montré dans le reportage un homme en tendant ses bras à la caméra.

vendredi, mai 16, 2014

"La chambre bleue"

C'est avec impatience que j'attends de voir le film "La chambre bleue" d'après Georges Simenon, d'abord parce que j'adore cet auteur, et puis j'ai découvert Mathieu Amalric dans un rôle de commissaire de police joué avec un grain de folie qui donnait à ces scènes une dimension surréaliste, je parle du film d'Alain Resnais "Les herbes folles".

mardi, mai 13, 2014

Mes voeux

1/ Faire le tour de France façon Maigret, comme Simenon qui décortique la vie des petites gens, et fat héberger le  commissaire dans de modestes auberges.
2/ Aller voir mes neveux David, Sacha, dans leur lieu de vie, en prenant un cargo, écrire face au large.
3/ Avoir certains de mes écrits édités.
4/ Avoir dans un film un rôle conséquent, moi qui ai eu la vedette dans de nombreux courts métrages, et un plan unique dans des longs métrages.
5/ Recouvrer  la santé pour  rester légère si aucun de ces projets n'aboutit.
6/ Malgré mes quatre-vingts berges , retrouver la tendresse d'un compagnon.
“On Board“

Jérôme Brézillon

Vernissage mercredi 14 mai de 18h à 21h
Openning Wednesday, May 14th, 6-9pm

Exposition du 15 mai au 26 juin 2014
Exhibition from May 14th to June 26th 2014

Galerie Sit Down
4 rue Sainte Anastase
75003 Paris


C’est à bord d’un train que Jérôme Brézillon a sillonné l’Amérique pendant près de deux ans. Il a effectué deux voyages successivement en 2010 et 2011 et s’apprêtait à en faire un troisième avant de disparaître prématurément en mars 2012.
Après la Filature de Mulhouse, les clichés de la série “On Board“ s’exposent sur les murs de la galerie Sit Down. Une véritable invitation au voyage pour une traversée des Etats-Unis.

A travers la fenêtre de son wagon, les paysages défilent. C’est de manière contemplative que Jérôme Brézillon saisit habitants, prairies, vastes étendues, routes interminables pour en restituer l’atmosphère paisible et envoûtante. Confronté à l’exiguïté du wagon et de la fenêtre, l’immensité de ces grands espaces américains n’en est que plus impressionnante pour ce photographe émerveillé lorsque le paysage se révèle à lui. Il écrit “Les trains américains sont lents et permettent de voir venir, les décors apparaissent, disparaissent, le hasard a sa place, les images sont fragiles et furtives, la vitesse leur donne un aspect diffus. Je deviens spectateur, comme si je photographiais pendant un travelling
interminable“.

Véritable chasseur d’images, il ne cherche pas le spectaculaire mais “l’image juste“. Il capture des instants fugitifs, des paysages évanescents.
Son œuvre photographique se nourrit de l’œil de William Eggleston, Stephen Shore, comme de celui de Joël Stern ou encore de Walker Evans, et la part de flou et de mystère qui émane de ses photographies n'est pas sans rappeler le roman Sur la route de Jacques Kerouac.

Ces voyages ont abouti à la publication d’un livre posthume “On board“ en mars 2014 aux éditions Textuel, dernier témoignage livré par le photographe sur sa fascination des grands espaces américains.
Jérôme Brézillon avait choisi des images au retour de chacun de ses voyages et les avait collées sous forme de tirages de lecture dans des carnets, laissant ainsi de précieuses indications pour la conception de cet ouvrage.

Biographie

Né à Paris en 1964, Jérôme Brézillon commence sa carrière en tant que photographe publicitaire, puis devient photo-reporter. De 1992 à 1998, il couvre plusieurs conflits armés notamment à Sarajevo, Chypre ou encore en Irlande du Nord. En 1996, il est lauréat du prix World Press Photo. En 2000, il collabore avec la réalisatrice finlandaise Solveig Anspach pour le documentaire intitulé Made in USA, sur la peine de mort aux Etats-Unis dans le pénitencier d’Oklahoma. Ensuite, il réalise plusieurs reportages toujours aux Etats-Unis, notamment sur Bruce Springsteen et sur la tribu autochtone des Lakotas dans la réserve de Pine Ridge. En 2007, Jérôme Brézillon couvre pour le journal Libération, la 60ème édition du festival de Cannes où il réalise de nombreux portraits de personnalités. En 2010, il est photographe de plateau pour le film Gainsbourg, vie héroïque, réalisé par Joann Sfar. Durant sa carrière, il a travaillé pour de nombreux magazines ou journaux français, tels que Libération, Les Inrockuptibles, L’Express, Télérama ou encore GEO. Il est également le cofondateur du site revue.com.
 

samedi, mai 10, 2014

Que la modestie soit!

Patrick Sébastien s'est refait une jeunesse en perdant du poids.
L'érotisme est latent dans tous les numéros de cirque, le rapport fusionnel avec l'autre, qu'il soit homme, bête , animal ou objet.

"Le plus grand cabaret du monde"mérite bien son titre, n'importe quel artiste fait pale figure à côté des gens du cirque, ce travail phêńoménal que représente chaque numéro en plus du talent, de la force, de la beauté, de la prise de risque, Jean Batiste Thierree disait que sans folie, l'on ne pouvait se jeter d,un trapèze dans le vide, c'est pour cela que dès qu'un chapiteau s'installe on voit les fous des environs rappliquer et se faufiler sous les bâches pour assister aux répétitions. J'avoue , petite, avoir volé des œufs à ma mère, pour avoir le droit de regarder le petit cirque de village .
"On ne dit pas des fous mais des malades mentaux" ( Saint Anne 1952), ce qui ne changeât rien à l'affaire en ce qui concernait la barbarie de la camisole de force, des comas à l'insuline, des électrochocs ( parfois simulés par les infirmières avec un fil de fer à repasser afin de terroriser le malade et qu'il obéisse), au vu d'un dortoir de 30 lits, imaginez la panique!

Acceptez mes excuses!

Je suis passée à côté de tant de talent, je me rattrape le samedi avec  " Les grands du rire" sur France -3

Je n'irai plus camper

C'est terrible ces migrants de tous bords qui cherchent l'Eldorado et attendent dans des déchèteries l'au delà des  mers, le droit à passer au risque de leurs vies. disant qu'au moins en prison ils avaient à manger, à dormir et se doucher.

jeudi, mai 08, 2014

Je suis un souvenir- http://www.festivalnikon.fr/video/2013/1392

http://kristinawagenbauer.com/Quelques-premieres-fois-shortfilmhttp://kristinawagenbauer.com/Quelques-premieres-fois-shortfilmhttp://www.festivalnikon.fr/video/2013/1392

La parenthèse inattendue- Frédéric Lopez

Gérard Lenorman a cité Gilbert Héron comme étant le chef de village du Club Méd qui lui aurait mît le pied à l'étrier, cela m'a fait plaisir, ma sœur  Suzy a été son infirmière préférée durant des décennies, en cas de trafalgar  sentimental, je la rejoignais ayant ainsi le plaisir de participer aux beaux spectacles d'Arlette Gilles  régisseuse qui était aussi la femme du chef.
Julie Ferrier a fait le show devant Gérard et Nathalie Dessai ébahis. Les diverses disciplines corporelles et artistiques de Julie en font une interprète virtuose: C'est beaucoup de travail ! dit- elle en jonglant avec les croissants de leur petit déjeuner.

dimanche, mai 04, 2014

Nelly et monsieur Arnaud - Claude Sautet(1995) Arté

Film très troublant et triste avec Emmanuelle Beart, Michel Serrault, Michel Lonsdale...

Laetitia Lambert- réalisatrice, comédienne " Fin de la pellicule"

"http://www.kisskissbankbank.com/la-fin-de-la-pellicule « La vie à l’envers », mon dernier court métrage, avait remporté le Fujifilm award 2012 dont le prix était une dotation de pellicule.
Avec cette pellicule j’ai eu envie de faire un autre film avec Teresa Demarcy Motta la comédienne de « La vie à l’envers ». Un film qui découlerait de nos échanges, dont le scénario serait la continuité et le reflet de notre rencontre artistique et personnelle.
J’ai choisi de monter ce projet hors du circuit habituel de production puisque sa genèse et son trajet d’écriture sortent du cadre "classique" de réalisation d’un film. Son tournage est rendu possible grâce à l’engagement de toute son équipe.
Nous allons tourner prochainement, dans une économie réduite, et faisons aujourd’hui appel à votre générosité afin de pouvoir développer la pellicule et finaliser ce film. Vous en serez ainsi les partenaires et producteurs."

La fin de la pellicule raconte l'histoire d'une réalisatrice qui vient trouver une femme âgée parce qu'elle s'est mis en tête de faire un film avec elle et un reste de pellicule.
Ensemble elles plongent ensemble dans un film ou cette femme va tout au long de la journée être revisitée par des souvenirs d'enfances.

Le film sera fini fin mai


LAETITIA LAMBERT Après avoir suivi une formation de comédienne au cours Perimony, Laetitia a travaillé au théâtre comme comédienne mais aussi comme metteur en scène et auteur. Récemment elle a interprété Antigone de Sophocle sous la direction d'Olivier Broda et sera prochainement dans "La nuit des rois" de Shakespeare et "Un ailleurs en soi" d'après Fernando ... Voir la suite

samedi, mai 03, 2014

Les os

L'usure de la hanche prend le pas, impossible de rester assise au cinéma ou au bistrot, il n'y a que le lit qui m'aille, comment savoir si par ailleurs je reprends du poil de la bête. Encore un mois avant de savoir si la rémission tient la route et entreprendre des travaux de réfection, dents, oreille, yeux, pieds, les vieux ne peuvent se plaindre, pas le temps de s'ennuyer, sans compter toutes les horreurs que déverse la télévision internationale, pauvre d'eux, tous ces enfants qui vivent dans la terreur des guerres qui ne disent pas leur nom.

vendredi, mai 02, 2014

C dans l'air - survie dans les catastrophes.

Parmi les techniques préconisées en situation de catastrophes : L'économie émotionnelle. Cela me parle, il me semble que je pratique cela  naturellement en cas de trafalgar , maladie, déception sentimentale, si bien que personne n'y voit couic.