vendredi, octobre 30, 2009

(56)Vous dormez, allongé sur le ventre. Lentement, j’écarte vos fesses pour laisser apparaître votre anus. Le désir de vous prendre fait que j’y introduis une cigarette blanche. Aussitôt lubrifiée celle-ci ne casse pas, malgré le mouvement que je lui imprime. Et ces mêmes mouvements se transmettent à mon ventre qui ne repose sur rien.
Notre excitation est identique, bien que n’allant pas jusqu’à l’orgasme.

jeudi, octobre 29, 2009

News: Réédition de “Un jour ouvrable”‘ et des “Contes Glacés” 22/10/2009 15:18

“Un Jour ouvrable”, publié en 1961 aux éditions Losfeld, vient d'être réédité par La Dernière goutte (www.ladernieregoutte.fr) de Strasbourg. Il s'agit d'un des romans majeurs de Jacques Sternberg
Lionel Marek, fils de Sternberg


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News: Réédition de “Un jour ouvrable”‘ et des “Contes Glacés”
22/10/2009 15:18
“Un Jour ouvrable”, publié en 1961 aux éditions Losfeld, vient d'être réédité par La Dernière goutte (www.ladernieregoutte.fr) de Strasbourg. Il s'agit d'un des romans majeurs de mon père, où se déploient, au mieux de leur forme, son humour noir et glacé, ainsi que son génie du nonsense qui ne sauraient masquer pour autant le vrai sujet du [...]

mercredi, octobre 28, 2009

" Une fois de plus" de Sandra Coppola

Bonjour, pour visionner un extrait du film " Une fois de plus" kino de Sandra Coppola (2009) copiez-collez le lien ci-dessous dans votre navigateur:
www.off-courts.com

http://195.7.101.201/mp4/kino09/Une_fois_de_plus.mp4


Merci pour votre visite :-)

mardi, octobre 27, 2009

L'affaire Farewell ou l'espion de la vengeance -Arté

Des espions ont modifié le cours de l'histoire. Il en est un, un Russe, nom de code Farewell. Dans les années 80, il a contribué à précipiter le démantèlement du rideau de fer qui coupait l'Allemagne et l'Europe en deux, la chute du mur de Berlin et la réunification de l'Allemagne, et finalement l'écroulement du communisme soviétique. Trajectoire d'une taupe hors du commun, ne serait-ce que par la quantité exceptionnelle de documents ultrasecrets qu'il a fournis à l'Ouest, un véritable océan qui a fait dire au président américain Reagan que Farewell était l'espion du siècle. Sombre destin d'un homme qui a berné le tout-puissant KGB. Son histoire, très peu connue, dévoile la somme de frustrations et de calculs, de petitesse et de courage, de lâcheté et de violence qu'il y a derrière une trahison.
* Réalisateur: Delassus Jean-François

L'espion qui a fait chuter le mur de Berlin. Très instructif documentaire sur l'homme qui mésestimé par sa hiérarchie, et trompé par sa femme qu'il adorait, décide de sauver son pays d'une autocratie abusive. Il séduit une secrétaire en charge des dossiers secrets et les livre gratuitement à la France.

vendredi, octobre 23, 2009

On meurt plus vite de soif qu'on ne meurt de faim! (Féri)

Nous avons visité la Place du Tertre, les dessinateurs relégués à l'extérieur des tables à bouffes, lesquelles ont investis le milieu de la place, aggravé par une vue réduite grâce aux parasols qui ferment le ciel de Montmartre, c'est désolant comme spectacle, les artistes tels dans un ghetto happent le client pour un portrait à la sauvette, certains restent debout, le poursuivant dans les ruelles, crayon en main.

Je n'ai pas vu le mur de Berlin!



Les jours s'assemblent en semaines qui font des mois puis des années, vingt-ans ont passés, seuls des films comme La vie des autres permettent de comprendre le silence qui a présidé de quarante-ans de fausses retrouvailles. J'ai droit à une carte postale annuelle d'un demi frère et rien de ma demi soeur. Mon père est décédé après avoir tenu encore dix ans après cet orage que fut pour lui la chute du mur. L'allant voir, lui, il n'avait pas voulu s'asseoir pour prendre un café à l'aéroport de Berlin lorsqu'il me reconduisit après une quinzaine des plus pénible en RDA: L'Ouest c'est Satan!

Off-Courts Trouville-Montréal

MONTRÉAL octobre 2009… on a tous 10 ans !
Début octobre, se déroulait à Montréal le 38e Festival du Nouveau Cinéma. Des amis y fêtaient leurs anniversaire. Nous y étions. Journal de nos envoyés spéci’Off :

9/09 : Bravo à Danny Lennon pour les 10 ans de son Prends ça court!
Le cinéma Impérial a bien failli être trop petit !... vivement les 10 prochaines années !!!
10/09 : Premiére soirée du Kino Kabaret des 10 ans.
De nombreux français étaient présents dans le Lab de la rue St Catherine… et même une trouvillaise en la personne de Laurence David, la plus jeune de nous tous !
12/09 : Lancement du clip de Misteur Valaire.
C’est lors de la deuxième soirée Kabaret que les membres de Misteur Valaire et Parceque film ont présenté le clip réalisé durant le 10° Off-Courts dans nos Labos.
Le Clip >>>

Liens des amis :
www.courtmetrage.ca/
www.kino00.com/kabaret/
www.misteurvalaire.ca/

www.parcequefilms.com

DVD OFF dans les bacs !
Les plus chanceux l’ont découvert à l’occasion de la 10° édition de Off-Courts… Chacun va maintenant pouvoir trouver le DVD spécial 1O° dans tous les bons magasins à partir du 17 novembre 2009.
Il regroupe parmi les meilleurs films des palmarès depuis 2000 ainsi que de nombreuses productions Off.
le DVD OFF est dèjà dispo en ligne sur le site de Chalet Pointu :
ACHETER LE DVD EN LIGNE ICI >>>

IMPORT / EXPORT #6
C’est aussi à Montréal qu’ont débuté les travaux de la saison 6 de notre projet Import / Export. Ce projet de cinéma France / Québec propose à 2 réalisateurs une expérience de travail à l’international.
En 2010, ce sont Vincent Wilson (Québec) et Nicolas Boulenger (France) qui traverseront l’océan Atlantique. A suivre…
www.vwilson.net/
www.sourireetcompagnie.com/

OFF'CAST
Un nouveau Podcast est disponible. Abonnez vous c'est gratuit !
www.off-courts.com/podcast/offcast.htm

jeudi, octobre 22, 2009

(55)*Je m’exile à Londres, pourquoi pas ? Mais je suis descendue dans un hôtel de luxe, comment payer la note ? De toute façon j’ai décidé d’user de mes charmes. Voici un premier client, quel prix lui demander ? Au moins 50.000 francs anciens. Mais pour cette somme élevée, que suis-je sensée lui faire ?
Malgré la présence des P… je ne peux arracher mes lèvres du dedans de ta bouche si juteuse. Nous sommes plaqués l’un contre l’autre, vous m’entraînez dans ma chambre qui est au fond de leur appartement.
Je n’ai de cesse de vous embrasser le pénis jusqu’au moment où le liquide de nos désirs m’emplit tant la gorge que j’en déverse la moitié dans votre bouche. Mais tel un noyé, vous versez la tête de côté pour dégorger cet élément aqueux sur la couche.

«Le Ruban blanc»


le diable en culottes courtes
Propos recueillis par Olivier Delcroix
Dans «Le Ruban blanc», palme d'or incontestée à Cannes, le réalisateur autrichien dissèque les méfaits d'une éducation trop répressive.

LES FILMS DU LOSANGE
Une scène du film autrichien de Michael Haneke, "Le Ruban blanc" ("Das Weisse Band"), présenté en compétition au 62e Festival de Cannes.

Un village de l'Allemagne du Nord protestante, à la veille de la première guerre mondiale. D'étranges événements y surviennent, à propos desquels "bien des questions restent sans réponse", nous dit le narrateur, un ex-instituteur devenu vieux. Il ne faut pas compter sur le cinéaste (et auteur du scénario original) pour dissiper ces énigmes. Les épilogues en décryptage pédagogique à la Hercule Poirot n'ont pas droit de cité dans les films de Michael Haneke, qui tient à ce que le spectateur fasse sa propre lecture, qu'aucune interprétation ne lui soit dictée.
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NOUVEAU ! Un sujet vous passionne ? Publiez votre chronique sur Le Monde.fr
Sur le même sujet

Le réalisateur autrichien Michael Haneke a obtenu la Palme d'or pour son film "Le Ruban blanc" au 62e Festival de Cannes, le 24 mai 2009.
Film autrichien de Michael Haneke avec Rainer Bock, Susanne Lothar, Christian Friedel, Leonie Benesch, Ulrich Tukur, Ursina Lardi, Burghart Klaussner (2 h 24).
Sortie en salles le 21 octobre 2009.

C'est dans un noir et blanc splendide que se déroule ce film impressionnant et implacable. On le situe quelque part dans la lignée du Losey des Damnés, ou de La Nuit du chasseur de Laughton, à cause de la figure maléfique du prédicateur. D'un Clouzot. D'un Bergman naturellement, tant planent la hantise du péché et une sexualité mortifère. Mais Le Ruban blanc assène un ton particulier, avec ses bourreaux aux yeux bleus et tignasses blondes.
Jean-Luc Douin

mardi, octobre 20, 2009

(54)*Dans un tourbillon, nous sommes tous projetés dans la campagne tels des obus de longue portée. Notre voyage à l’horizontale dure longtemps. Nos corps sont soutenus par un long coussin d’air ; je suis à un mètre en dessous de vous, sur un autre coussin. J’aimerais autant profiter du même pour que nous nous y laissions porter dans les bras l’un de l’autre, mais nous amerrissons brutalement au bord d’un fleuve. Il y a des espèces d’embarcations individuelles que s’approprient beaucoup de gens dans notre cas. Il me semble qu’il y a un petit voilier couché entre deux eaux. Il sera pour vous puisque vous savez naviguer. En fait, c’est juste un ski en plastique à chausser, avec la forme du pied qui maintient la cheville en équerre.

Vroum vroum! 18 octobre, 2009 Posté par walterlewino dans : POESIE-LITTERATURE, SPORTS

http://walterlewino.unblog.fr— Bonjour… Madame ?…Mademoiselle ?…
— Mademoiselle.
— Bien, Mademoiselle. Alors, voilà, j’aimerais connaître les conditions pour passer le permis moto.
— C’est pour vous ?
— Oui, bien sûr.
— Excusez-moi, Monsieur, vous êtes né en quelle année ?
— Vous désirez savoir mon âge ? Quatre-vingt-cinq ans. Pourquoi ?
— C’est que…c’est que… Attendez, je crois qu’il y a des conditions spéciales pour les gens comme vous. En tout cas une visite médicale. Je ne sais pas trop où sont les instructions. Ça ne nous arrive pas souvent d’avoir des candidats de votre âge, même des plus de cinquante ans. C’est plutôt des jeunes…
— Je sais. Vous voyez, Mademoiselle, ce n’est pas moi qui l’ai achetée cette Yamaha, c’est mon petit-neveu qu’a dix-neuf ans. Seulement au bout de six mois il a eu besoin d’argent, vous connaissez la jeunesse. Alors il me la revendue à un bon prix, il m’a même donné en prime tous les accessoires, deux casques, des gants, des grosses sacoches et puis je ne sais plus quoi. Vous savez, il est orphelin de père et de mère, je ne peux rien lui refuser.
— Je comprends. Une Yamaha ? Vous savez de quel type de Yamaha il s’agit.
— Oui attendez, j’ai les formulaires… Une Yamaha FRJ 1300 AS.
— Puis-je voir le formulaire ?
— Volontiers, Mademoiselle, le voici
— … Mais c’est un monstre. Vous voulez vraiment enfourcher un pareil gros cube. Il pèse au moins 300 kilos.
— Ah ! Je le sais, Damien, mon neveu, m’a à plusieurs reprises fait faire un tour derrière lui. C’était très facile. Et puis il m'a expliqué que sa Yamaha est automatique et qu'il y a des poignées chauffante. Ça m'arrange. Vous comprenez, avec l'âge je ne suis plus très adroit et je suis devenu frileux.
— Oui Monsieur, je comprends. Mais puis-je vous poser une question. Avez-vous déjà fait de la moto ?
— De la moto, pas vraiment, beaucoup de vélo, et puis après la guerre j’ai eu un Solex.
— Un Solex ?…
— Oui. Ils ne les fabrique plus et c’est dommage. Imaginez une sorte de vélo pour femme, avec un petit moteur sur la roue avant, on n’avait pas besoin de pédaler.
— Je vois.
— J’ai aussi le permis auto depuis 1946. J’en ai eu quatre et même une Volvo. Il y a bien longtemps. Maintenant en ville on ne peut plus ni rouler ni se garer.
— Je suis d’accord avec vous.
— Alors que les motards, je les ai bien repérés, ils se faufilent et peuvent se garer un peu partout. C’est ça qui m’intéresse.
— Oui, Monsieur, mais les voitures possèdent quatre roues et les motos seulement deux.
— Je sais, Mademoiselle, ce n’est pas à un homme qui a fait du vélo jusqu’à près de cinquante ans qu’il faut dire cela.
— Excusez-moi. Mais est-ce que vous savez que la moto c’est plus dangereux que l’automobile ? Beaucoup de jeunes, hélas ! y laissent leur vie.
— Ouais, mais il vaut peut-être mieux qu’un vieux comme moi, qui n’a plus beaucoup d’années à vivre, se tue, plutôt qu’un jeune qui a toute sa vie devant lui. Non ? Qu’est-ce que vous en pensez ?
— C’est un point de vue.
— Vous ne m’avez toujours pas dit combien ça me couterait les leçons et le permis.
— Ça dépend. Il faut compter au moins 1000 euros. Dans votre cas, je ne peux pas dire. En attendant, vu votre âge, il vaudrait mieux que vous discutiez avec le patron, je ne suis qu’une employée, il sera là demain matin.
— Bien, Mademoiselle, à demain matin… Vu votre âge… vu votre âge… Il n’y en a plus que pour les jeunes. Nous, on est bon pour la casse. Je vous salue bien, Mademoiselle.
— Bonne après-midi, Monsieur.
La scène s’est déroulée dans une moto-école du 3e arrondissement de Paris. Précision, le NVF ne possède ni petit-neveu orphelin ni Yamaha
Thetime Ontime

jeudi, octobre 15, 2009

James Thiérrée- Raoul : la solitude


Est-il Dieu possible d'avoir un tel héritage tout azimut, et de conserver l'énergie pour se produire en scène nous abreuvant de ses dons! Cette générosité, seuls les enfants la mérite!

Raoul : la solitude selon James Thiérée - jeudi 10 septembre 2009 ...
10 sep 2009 ... Raoul : la solitude selon James Thiérée jeudi 10 septembre 2009 / Lyon (69000)James Thiérrée présente pour la premičre fois en France son ...
culturebox.france3.fr/.../Raoul-:-la-solitude-selon-James-Thi%E9r%E9e/ -

mercredi, octobre 14, 2009

(53)Renaud attire ma main. Je sens qu’il va me demander de “mettre la main à la pâte”, selon sa propre expression. Des larmes me jaillissent des yeux. Dans des hoquets hystériques de colère et de désespoir, je hurle qu’il n’est pas possible d’avoir des rapports aussi peu spontanés. Cela me rend malade et dérange l’idée que je me fais de ma féminité, qui demande plus à être prise que de jouir par des subterfuges, avec la désagréable sensation de sa fixation extra-vaginale.

dimanche, octobre 11, 2009

Claire Deluca_Marie christine Barreault-Jean Marie Lehec- Hervine de Boodt

Que de femmes aux débats!
Enfin du rire avec "Les eaux et forêts" et "Le Shaga" par les temps qui courent...
Je ne suis pas multiple, moi, je suis tout! aurait répondu Duras

Les artistes sont dans le viscéral. Les universitaires lisent littéralement et j'aimerais savoir comment ils baisent.

Quand on attaque mes amis, je dis toujours que je suis la seule à avoir le droit de dire du mal des gens que j'aime.

Jacques Sternberg et Marguerite Duras étaient des habitués du Central la brasserie in de Trouville. Sternberg n'avait jamais osé aborder la femme écrivain, j'espère qu'aujourd'hui, là où ils se trouvent, ils devisent enfin ensemble
Ouest-France / Basse-Normandie / Caen / Au fil de l'info
Au fil de l'info
Trouville-sur-Mer
14:25 - samedi 10 octobre 2009


Pierre Bergé, Laurent Terzieff et Claire Deluca.


Laurent Terzieff reçoit le 8e Prix Marguerite Duras à Trouville
Le comédien et écrivain Laurent Terzieff est le lauréat du 8e Prix Marguerite Duras, remis pour la première fois à Trouville-sur-Mer à (Calvados), l’occasion du 14e hommage à la femme de lettres. Laurent Terzieff a reçu le prix des mains de Pierre Bergé, dont la fondation finance le Prix avec la Ville de Trouville.
Un très beau plateau à la remise du Prix: Le jury présidé par Alain Vircondelet, biographe de Marguerite Duras, était composé entre autres membres des comédiennes Macha Meril et Claire Deluca ; des écrivains et cinéastes Michelle Porte, François Barat, Jérôme Beaujour, Viviane Forrester, Daniel Mesguich, Dominique Noguez, Patrick Poivre d’Arvor et Raphaël Sorin.

Duras par M. Pierre Bergé

C'est Laurent Terzief l'heureux lauréat de ce prix, il a longuement été ovationné par l'assemblée et nous a lu un texte de lui sur Marguerite qui mérite d'être publié. Son physique de personnage dostovieskien, déchiré, illuminé, est presque insoutenable à voir, une telle slavitude s'en dégage.

Un article de Wikipédia,
Nom de naissance Laurent Didier Alex Terziev
Naissance 27 juin 1935 (74 ans)
Toulouse, France
Nationalité(s) France
Profession(s) acteur

Laurent Terzieff, à l'état civil Laurent Didier Alex Terziev, est un acteur et metteur en scène français né le 27 juin 1935 à Toulouse (France).

mardi, octobre 06, 2009

(52)*Nous sommes trois à fuir, comme dans un roman policier. Un autre trio nous coince contre l’arête d’une façade. Et,du milieu de ce groupe, vous me tuez d’une grande rafale de mitraillette.
C’est l’aube, nous avons dormi toute la nuit dans les bras l’un de l’autre, ponctuant notre sommeil de baisers brûlants. Mais ces brèves étreintes se diluaient dans notre envie de dormir.
Il est six heures du matin, un scandale ! J’envoie vite un télégramme à ma mère qui lui sera distribué à huit heures. Elle ne pourra pas ainsi me reprocher d’avoir découché sans la prévenir par téléphone. Rien n’était prémédité. C’est un cadeau de tendresse que nous nous sommes fait l’un à l’autre.

jeudi, octobre 01, 2009

Le Lot walterlewino.unblog.fr

Un peu de patience 11 septembre, 2009
Posté par walterlewino dans : Non classé, POESIE-LITTERATURE , 2 commentaires

Si vous allez faire un séjour dans le Lot, faite-le au mois de septembre Tout y concourt au bonheur, le ciel est fluide, la chaleur supportabl, le soleil vous tire la révérence vers 6-7heures et libère une apaisante lumière . C'est la saison des figues, les petites noires qui sont sucrées comme le miel, les blanches volupteuses et langoureuses, des noisettes, du raisin sur la treille, des goûteuse tomates et des tendres haricots verts, pas les immigrés offerts par les commerçants du coin et originaires de Dieu sait d'où, mais ceux que vous apporte en offrande tous les matins l'adorable Aimée. De plus, Parisiens, Anglais et autres envahisseurs sont retournés dans leur brouillard.

Camarades blogeurs un peu de patience, le NVF ne sera de retour à Paris qu'en début d'octobre.

Je n'en arque plus une!

C'est un terme de sportif, quand on arrive plus à mettre un pied devant l'autre