mercredi, février 29, 2012
lundi, février 27, 2012
Walter Lewino
Ecœurant toute la bouffe encore bonne qu’on vire aux poubelles. Ah ! les poubelles il y en de toutes sortes. Pour le pourrissable, mais alors bien empaqueté ; pour le papier et le plastoche qui nous envahissent ; pour les bouteilles vides ; pour les piles usagées ; pour dieu sait quoi, dieu ? c’est-à-dire personne
Pourquoi, tant qu’on y est, ne pas en ajouter une, de poubelle. Une pas trop grande, réservée à la nourriture encore consommable, même limite périmée, et protégée par du plastique, pour fois qu’il pourra servir à quelque chose ce putain de plastique.
Il paraît que quelque chose d’approchant existe du côté des grandes surfaces et des centres commerciaux. Encore faut-il pouvoir s’y rendre, étant donnée que ces bon dieu (encore lui !) d’établissements, planqués à des kilomètres, réclament de la bagnole pour s’en approcher, engin que possèdent de moins en moins nos néo-clodos, en un mot nos SDF.
Mais le grand intérêt de ces poubelles à bouffe serait de soulager la conscience de tous les nantis suralimentés du pays, qui envoient chaque jour à la poubelle de quoi sauver toute une colonie de petits négros
samedi, février 25, 2012
mardi, février 21, 2012
L’ART DE LA RÉPLIQUE (01 05)
Il y en a marre des paroles convenues. Tous ces gens qui vous disent automatiquement la même chose dans les mêmes circonstances et à qui vous rétorquez par un cliché équivalent
Voici quelques formules qui a défaut d’améliorer vos relations pourra les pimenter du sel de l’humour
Au gargotier qui vous souhaite bon appétit. « Pourquoi, il en faut ici ?»
Au même qui recommande un de ses plats. « Est-ce que ça fait de belles selles ? »
Toujours au même s’il demande si vous avez apprécié. « De toute façon pour ce que je vais en faire !»
On se montre obséquieux devant vous. « Ne perdez pas votre temps, mon cœur est pris »
On dénigre la masturbation. « Dommage, ça fait de belles mains »
Quelqu’un se plaint d’un torticolis. « Faut pas regarder la télé en faisant l’amour »
On vous réclame l’heure qu’il est.. « Je sais pas, ça change tout le temps »
A qui vous demande pourquoi vous trompez votre conjoint« Parce qu’on de fait pas de cochonneries avec la mère (ou le père) de ses enfants »
Pour couper court à une femme qui vous remercie.« Tu me feras une pipe » (La version féminine passe mal)
Quelqu’un prononce une incongruité « Il vaut mieux entendre cela que d’être pédéraste mais tout juste » ( La version homosexuelle remplace pédéraste par hétéro)
Sans oublier l’inusable « Cela me rappelle une femme que j’ai beaucoup aimée » à propos de tout et de rien
Exemples :
Il y a une drôle d’odeur ici. « Cela me rappelle une femme que j’ai beaucoup aimée ». Ce magnéto, je ne sais jamais sur quel bouton appuyer. « Cela me rappelle une femme que j’ai beaucoup aimée ». Cette putain de voiture démarre quand ça lui chante « Cela me rappelle une femme que j’ai beaucoup aimée ». Mon chien n’en a jamais assez « Cela me rappelle une femme que j’ai beaucoup aimée » Ces nouilles sont molles et à moitié froides « Cela me rappelle une femme que j’aui beaucoup aimée ».Le soleil n’arrive pas à se décider « Cela me rappelle une femme que j’ai beaucoup aimée »
Etc. etc..
C’est inépuisable, ça marche à tous les coups et la version féminine est tout aussi efficace.
lewino 1 Le Webroman
Un premier essai a donné « Il sortit avec sa femme, laquelle était de mauvaise humeur. Ils s’engueulèrent et elle le gifla, il répondit c’est alors qu’un passant essaya de les calmer en .... »
Pas terrible mais amusant
Surtout ne comptez pas sur le NVF pour gérer ce grand roman des banalités de base, et intéressant à ce titre.
Mais s’il y a un amateur on lui souhaite bonne chance
dimanche, février 19, 2012
Dimanche Rouge -Le petit bain
@ Petit Bain, 19 FEVRIER 2012, 16H-minuit
ENTREE GRATUITE
Pour cette 13ème édition, Dimanche Rouge vous invite à découvrir une soirée de performances expérimentales et une after-party DJ le dimanche 19 fevrier, de 16 heures à minuit. Nous sommes ravis d’annoncer que notre 13e édition se tiendra au PETIT BAIN. Depuis sa création en Février 2011, Dimanche Rouge a accueilli douze éditions uniques, avec plus de 300 artistes provenant de 50 pays.
Pour cette 13è édition, Dimanche Rouge vous invite a vous submerger dans le monde de la performance art.►PERFORMANCES A DUREE DETERMINEE
16h-18h Vlasta Delimar (performance art, Croatie) Janneke van der Putten (voix solo, Pays-Bas)Dorianne Wotton + Marianne Essentialites + Gêhïks Exomène (multimédia, France) Riccardo Attanasio (performance art, Italie/Royaume-Uni) Anne Lopez (choréographie, France
18h-20h Adriana Varella + Ife Niklaus (multimédia, Etats-Unis)Anya Liftig (performance art, Etats-Unis)Antonio Jose Guzman (VJ performance, PaysBas/Panama)RedBind (performance art/ vidéo, France)
20h-21h jamie lewis hadley (performance art, Royaume-Uni) Jessica F. Hirst (performance art, Etats-Unis)
21h DJ/VJ AFTER PARTY Supersymmetry visuals feat Ssaliva LIVE (VJ/DJ, Belgium)
Human Koala Live (DJ Set, France)
►PERFORMANCES A DUREE INDETERMINEE ET INSTALLATIONS
Opie Boero Imwinkelried + Gerard Bertin (performance, France)
Feral Children Streaming From The Forests: Katrinamuri (Autriche, Alpes), Emma Rochester (Australie, Tasmanie), Opie Boero Imwinkelried (France, Fontainebleau)Petit Bain, Paris 75013 Métro ligne 6, station Quai de la Gare, ligne 14 et RER C, station Bibliothèque L
Le nu se porte bien, il est censé véhiculer à chaque fois un message illustré par des vidéos qui n'en finissent pas, heureusement que les garçons et filles qui s'exhibent ont une plastique impeccable et des talents pour danser! Je suis surprise que le public ne réagisse pas, moyenne d'âge entre 25-30 ans, autrefois, les titis parisiens nous auraient distraits par leurs lazzis et rires! Mais là, tout est sérieux
Walter Lewino
La bonne langue
On dit volontiers pour parler d’une rupture rapide que cette passion n’a pas fait long feu. Or elle a justement fait long feu. L’expression, d’origine militaire, remonte aux anciens temps de la poudre noire, faire long feu signifiait qu’au lieu d’exploser ladite poudre partait en flammes. Ne pas faire long feu signifiait donc réussir.
Pour parler d’un malin on dit qu’il a tiré les marrons du feu. Grave erreur, relisez la Fontaine. Le baisé est celui qui retire les marrons, le chat, et le malin celui qui les croque, le singe.
Pour expliquer des suppressions importantes on parle de coupes sombres alors que l’expression est empruntée au langage forestier où les coupes sombres signifient que quelques arbres seulement sont abattus contrairement aux coupes claires qui en épargnent peu.
Et voici en guise de dessert trois expressions courantes qui relèvent d’avantage de l’incohérence que de l’ignorance :
S’avérer faux alors que s’avérer signifie se révéler exact
Un soi-disant coupable alors que précisément il est soi-disant innocent.
Partir à New York, alors qu’on prend l’avion à Paris et que l’on part pour New York.samedi, février 18, 2012
Altman- Cinémathèque -Bercy
Si Vecchiali nous était conté!

Le snobisme
vendredi, février 17, 2012
Walter Lewino-No sport !
On n’admirera jamais trop les Anglais pour avoir inventer le football où l’homme s’interdit d’utiliser ses mains ; le rugby où la balle ovale rebondit au hasard ; le tennis où 30 plus 15 égale 40 ; le punching ball qui est incapable de répliquer et le criquet que personne ne comprend.
jeudi, février 16, 2012

Renaud Gilles -Persona- vernissage le jeudi 16 février de 18h à 21h - Bastille Design Center- 74 bd Richard Lenoir 75011 Paris- du mercredi au samedi de 10h à 19h et sur RVV WWW.renaud gilles.com- art212@orange.fr


Si seulement il y avait d'autres anges comme dans ce film afin que cesse la guerre entre Israel et la Palestine.
Le fils de l'autre
de Lorraine Lévy
Dans un hôpital d'Haïfa, deux femmes accouchent au milieu des bombardements. L'une est une Française juive qui vit en Israël, l'autre est Palestinienne. Elles donnent naissance chacune à un garçon, Joseph et Yacine. Dix-huit ans plus tard, Joseph, qui doit effectuer son service militaire, reçoit des résultats d'analyse de sang qui se révèlent incompatibles avec les groupes sanguins de ses parents. On découvre alors que les deux enfants ont été échangés dans le chaos qui a présidé à leur naissance. Une erreur qui va bouleverser leur vision du monde. Joseph est Israélien et doit partir à l'armée dans trois mois; Yacine est Palestinien, vient d'obtenir son bac et vit en France. Rien ne les prédestinait à se rencontrer.
Longtemps j'ai été suicidaire!
mardi, février 14, 2012
C'est curieux comme des gens intelligents ne se rendent pas compte qu'en vous rabaissant, ils se discréditent.

lundi, février 13, 2012
La dynastie Drouot

Lear et son Fou
avec Jean-Claude Drouot de André Benedetto, mis en scène par Jean-Claude Drouot
Le procès de Lear par son Fou. Entrée en piste de deux clowns sublimes pas si tristes que ça. King Lear hante tous les acteurs, tous les gens de théâtre.
Benedetto trimballe le vieux bonhomme sur la lande, désemparé, maudit, berger fou des ouragans et des catastrophes, accompagné d'un humoriste implacable, son Fou.
Lear sait qu'il a mal fait mais il ne sait pas pourquoi.
Auteur : André Benedetto
Artistes : Jean-Claude Drouot, Serge Le Lay. Scènographie Sandrine Pelloquet-Son et lumière Emmanuel Drouot

Au Théâtre de l'Épée de Bois
Cartoucherie de Vincennes
Route du Champ de Manœuvre
75012 Paris

Ce n'est qu'à 14h ce dimanche que j'ai eu vent de ces spectacles et c'était la dernière: Je saute dans le métro puis la navette, j'arrive! Il était temps, j''étais si contente de revoir cette famille après des années, qu'émotivité de vieille dame, j'en ai fait pipi au lit...
Jean-Claude Drouot illustre bien ce que disait monsieur Georges Leroy (Comédie Française, et professeur notamment de Gérard Philippe) Pour jouer de la tragédie il faut avoir de la santé, et pour être un comique, il faut trois fois plus de sincérité que pour être un tragédien!
dimanche, février 12, 2012

Un !lm de Jérôme Reybaud
avec
Paul Vecchiali
Hélène Surgère
Paulette Bouvet
Jean-Christophe Bouvet
Marie-Claude Treilhou
Haydée Caillot
Mona Heftre
Fabienne Babe
Une production Fendre l'air réalisée
avec l'aide du CNC et de CinéCinéma
samedi, février 11, 2012
Notre moitié
vendredi, février 10, 2012
Bruxelles oui! Bruxelles non!
Tilly et Baronian ont parlé littérature, tous deux sont de vrais lecteurs.
Il faisait froid pour tout le monde dans la rue, nous en avons fait des marches d'un endroit l'autre, voir le Musée Magritte, rien que nous ne connaissions, puis Les lettres de Simenon grand Dada commun à Sternberg et Baronian, très intéressante interview de Pivot à Apostrophes, où Simenon raconte que malgré la présence de trois femmes à la maison: la légitime, la maîtresse, et la bonne, il lui fallait rencontrer des professionnelles, avec pudeur et par respect, il ne prononce jamais le mot prostituées, ou putes, lesquelles furent ses meilleures amies. Et retrouver notre hôtel dans un quartier dit Chaud! Les passants voulait nous prévenir qu'il valait mieux ne pas traîner dans cet environnement , nous n'y avons vu que quelques femmes pelant de froid, plus les chaudes bonbonnières, chacune décorée à la personnalité de la femme exposée qui se voulait: enfantine, ravageuse, ou mémée...
(Entendu ce matin sur RTL un humoriste qui raconte qu'à l'âge de 19 ans on lui avait proposé une fellation: C'est gentil, mais ne te prends pas la tête!)
Ce fut une virée de 24h offerte par Tilly pour mon anniversaire, à la recherche de quoi? J'ai trop parlé, j'en ai eu une crise d'urticaire qui m'a brûlée durant la nuit.
Petit mot de Simone Arèse
jeudi, février 09, 2012
Walter Lewino
POESIE-LITTERATURE,SOCIETE , trackback
L’ennui c’est qu’on ne dispose que d’une vie. Difficile de remettre ça. Reste le rêve. Imaginons qu’on se nomme Mohammed Benmachinchose, qu’on a dix-huit ans. Père, trente ans d’usine, nesachant ni lire ni écrire, mais baragouinant assez bien le Français, mère pareil. On habiterait La Courneuve, Clichy-sous-bois ou quelques-unes de ces citées qui expliquent pourquoi les gitans restent accrocs à leur roulotte. L’école ? on s’y serait fait chier pendant une bonne dizaine d’années, sauf pour le sport, et encore ! dès la sixième on aurait été davantage attentif aux fesses
de la prof, superbes, vraiment bandantes, qu’à ce qu’elle tentait de vousinculquer, vous sentiriez confusément que vous avez tort, mais comment faire autrement ? Pas facile de piger quelles sont les clés de la réussite sociale et de l’épanouissement personnel quand tout autour de vous ce n’est que misère etrépression. Libéré vers la seizième années vous auriez vite découvert que le mot liberté est un vain mot quand on ne sait pas quoi en foutre. Travailler ?
puisque, paraît-il, c’est ainsi qu’on ramasse des thunes, mais où chercher, à qui s’adresser, quand on traîne un petit casier de rien du tout ? Pour des peccadilles commises comme en s’amusant. Une histoire de carte de crédit récupérée dans le sac d’une vieille qui viendrait de se ramasser la gueule contre un trottoir et qu’on aurait bien gentiment aidée à se relever ; des emmerdes, dont une saignante, avec les vigiles de Carrefour et de Discorama ;cette tentative de taguer des slogans anti-flics sur les murs d’un commissariat conduite sans permis, vous avez vu combien ils demandent pour vous le faire obtenir ce foutu bout de papelard, hélas, circonstance aggravante, ce serait dans une voiture d’emprunt, mais comment feriez-vous, si vous n’aviez pas une thune, pour vous procurer une tire, sinon en l’empruntant à un nanti qui, si ça se trouve, conduirait comme une patate. Des broutilles, quoi, mais des
broutilles qui feraient grimacer la meuf du service pour l’emploi où tout le monde sait qu’ils ne vous trouvent jamais de boulots valables. Alors vous iriez traîner avec les potes qui vous ressemblent, dans les escaliers ou dans les caves de la cité, on se demande à quoi elles leur servent, ces caves, ils y foutent jamais de pinard. Les escaliers ce serait mieux, vous pourriez charrier les gens qui montent et qui descendent puisque l’ascenseur il y a longtemps qu’il serait naze, surtout les filles, il arriverait même qu’il y en aurait unqui provoquerait grave et qui après crierait au viol, c’est pourquoi vous auriez interdit à vos deux frangines de renter seules à l’appart. Les potes, ça deviendrait votre vraie famille. De temps en temps il y en aurait un qui ramènerait un peu de shit ou d’herbe. Et un jour un de ceux-là, un affranchi, vachement sympa, vous proposerait de lui filer un coup de main. Il s’agirait de mater dans le cas où des flics débarqueraient sur le secteur où il dealerait. On vous expliquerait à quoi on reconnaît un mec des stups en civil son type de bagnole et sa façon de conduire. Tout de suite la mèche vous conviendrait, enfin des thunes. Et un beau jour votre nouveau pote comprenant que vous êtes un gars sûr vous proposerait de prendre à votre compte un petit bout de son territoire.La suite coule de source. Vous deviendriez de plus en plus gourmand, votre petit territoire ferait des petits jusqu’au jour où vous feriez piquer avec un gros paquet de thunes sur vous et de pas mal de coc. Un an de cabane ferme. C’est là que vous rencontreriez ce grand caïd au baratin gigantesque qui vous expliquerait que la cam c’est terminé et que l’avenir est aux braquages en oubliant de vous dire qu’en cas de coup foireux on en prend
pour vingt ans. Ça ne raterait pas. Fin du cauchemar
mardi, février 07, 2012

Je raconte à Lewino que je vais ce soir au Petit Journal Saint Michel écouter Zanini : Tu ne te souviens pas? C'est lui qui jouait de la trompette (clarinette) à l'enterrement d'Eric Losfeld! dit-il. Et sans perdre pied, il m'explique comment enfoncer un couteau dans une pomme de terre pour savoir si elle est cuite. Il n'est jamais trop tard pour être éduquée.
Un béret rouge à pompon acheté à Marseille pour son premier enregistrement et porté par -30° à Val d'Isère il y a 30ans, fait le chaud (show) de la soirée, Zanini swingue du tendre, avec son Saxo, (m'apprend Tilly). Nous devons prendre le train à 7h 20 pour Bruxelles, il est temps de jouer les cendrillons sans perdre une chaussure dans la neige.
lundi, février 06, 2012
Le terminal-Stéphan Spielberg-Cinémathèque Bercy
Le sexisme
dimanche, février 05, 2012
Coluche
L'embrassade.
Les toits de Paris sont blancs

Scène d'adieu dans Eleni (2004)Theo Angelopoulos est mort hier soir après avoir été heurté par une moto, près du Pirée. Il tournait son nouveau film, L'Autre Mer
Pauvre de nous!
Douce nuit!
samedi, février 04, 2012
La poste
jeudi, février 02, 2012

Carnet d'hiver 3
Ce soir chez Oscar, le sujet était le même qu'à Trouville: "Rester soi même "
J'y suis allée de mon petit couplet sur la différence entre un acteur et un comédien , l'un vivant une situation donnée, l'autre se déguisant pour jouer un personnage.
Chaque jour je m'accroche, pourquoi demain, et après demain? Me reste encore la petite gloriole de figurer sur le Net, les kinoïstes y projettent leurs œuvres. J'aime les prestations qu'ils m'y ont fait faire, mon narcissisme s'en contente.
Nils Hahoutoff nous parlait de la loi de la polarité , la loi des contraires: Le bien le mal, le chaud le froid, l'amour la haine, l'un ne pouvant exister que par comparaison avec l'autre.
Tout à l'heure, au bistrot, on parlait du fou qui restait lui même puisqu'il était dans la subjectivité, mais restait seul! disait le médecin de service. Et riant: Ne vous inquiétez pas, vous en verrez des paranos, il y en a des flopées ici! Mais nous ne sommes plus assez fraîches!- Il y en a toujours qui seront moins frais que vous, et qui vous sauteront dessus!